𝐌𝐀𝐒𝐈𝐊𝐈𝐍𝐈

.01.

K Y M I A H.

Moi : l...lâchez  m...moi .

Lui:(me touche de partout) hmmm non c'est la seule condition si tu veux garder ton travail et je crois bien que t'en a envie?

Moi:....

Lui:(se mord la lèvre)alors ?

Moi:(pleure) s'il vous plaît monsieur pas ç...ça.

Lui:(sourire pervers) laisse toi faire tu vas aimé.

Moi:(le pousse violemment) NON C'EST NON ! LÂCHEZ MOI TOUT DE SUITE !!

Lui:(s'approche rapidement) je voulais être gentil avec toi mais tu me laisse pas de choix .
(M'attrape le poignet) ça fait des semaines que j'attend ça et aujourd'hui je te laisserais pas partir sale pute.

Je lui donne un coup dans ses bijoux de famille,attrape mon sac et sort en courant, les gens me regardez bizarrement mais moi je m'en foutez, la seule chose que je voulais était de me sauver.

Je me retrouve à un arrêt de bus et le bus n'arrive que dans 1h , merde en plus il pleut et il fait nuit , pffff j'ai pas d'autre solution que de l'attendre.

Je souffle bruyamment.

Pourquoi juste pourquoi ? Pourquoi tout cela n'arrive qu'à moi Hein ? Pourquoi j'ai l'impression que tout les malheurs du monde me retombent dessus ?

Conscience: Ne dis pas ça toi au moins t'as un toit sur la tête et quelques chose dans ton assiette.

Oui il y a bien pire que moi je sais mais...

Conscience: Pas de mais Dieu à un plan merveilleux pour toi ma belle.

Dieu.... j'ai arrêté de prié depuis bien longtemps.... je sais que c'est mal mais j'y arrive pas fin je sais pas .
Je sais que c'est mauvais oui et j'ai honte mais voilà quoi.

Boummmm.

Je me retourne et vois un homme ivre  qui viens de faire tomber une poubelle, l'homme continue à marcher avec difficulté vers moi et moi je me lève et marche dans le sens inverse, putain pourquoi je me retrouve toujours dans se genre de situation ?

L'homme accélère le pas et je fais de même,  sans même le remarquer je me retrouve dans une rue sombre et déserte.

Quelqu'un me touche l'épaule.

???:(voix bizarre) je t'ai eu .

Je me retourne et fis face à mon interlocuteur qui n'est personne d'autre que  l'homme qui me poursuivait.