2.4

412 58 30
                                    


KENDESHHA PRODUCTION

« Partie Vingt-Quatre »

Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.

« Partie Vingt-Quatre »

" Au fur et à mesure que l'on avance elle s'ouvre . "
______________









- Il fallait 2 années pour comprendre ce puzzle et réunir enfin les pièces .

— Mr Zaylan : ....

- Car à chaque fois que t'en collait une t'en perdait une et une qui était pas correcte .









SAFIYYA





_______

Maison Samzy
2h2min PM

______










— Haïkal : « Haïkal samzy c'est moi . »

.....: Vous êtes en État d'arrestation Monsieur tout ce que vous pourriez dire -

Il me regarde et tend ses bras pour qu'on le menotte .

—Haïkal  : « Arrêtez de parler et mettez moi  ces fichus menottes . »

Il m'a regardé de nouveau et à exquisser un sourire en coin je me suis reculé en mettant ma main par réflexe sur mon ventre.

— Haïkal : « Juste quelques semaines et en un battement de cils je vous enterre vivant , toi , Tahys et votre Gosse . »

..... : On avance monsieur .

— Haïkal : « Peut-être bien même que ce gosse n'est pas le tiens Tahys c'est mon gosse à moi parce que la dernière fois que j'ai couché avec ta femme je l'ai baisé bien profond . »

J'attrape la main de Tahys juste pour le calmer je connais le cœur et la maladie de Tahys un seul truc peut le tuer à la seconde et c'est une chance qu'après toute cette histoire qu'il soit là encore et je remercie Dieu .

- Il n'en vaut pas la peine je t'assure .

.....: On vous tiens au courant.

— Tahys : « D'accord. »

On le menotte et il me regarde en se léchant la lèvre tout en continuant de rire comme un petit fou .

Je regarde Tahys qui passe sa main sur son visage et met sa main dans la poche , les policier partent et je ferme la porte .

Je regarde derrière moi et vois Tahys arrêté près de la fenêtre .

Je m'avance vers lui puis place ma main sur son torse et fais rentrer mes mains dans son teeshirt , son corps étais tout chaud et j'aimais trop ce contact je faisais glisser ma main et remontais sur ses pecs .

« 𝐀̀ 𝗡𝗼̂𝘁𝗿𝗲 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 »Where stories live. Discover now