Les marais

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Après avoir quitté le chateau aux premières lueures de l'aube, je me suis dirigé vers le port. Plusieurs navires mouillaient dans le port et, faut dire, quand le soleil c'est levé, c'étais magique. J'ai cherché un navire quittant le port pour le retour au continent et j'ai finalement trouvé le Dragon qui partait pour le royaume de la terre. Le capitaine a accepté, mais pour payer la travers, je suis en cuisine. Ça ne me dérange absolument pas. Dans une semaine je pars à la découverte de ce monde.

Une fois sur le bateau, je me sentais triste. Je ne suis pas faite pour les au revoirs. C'est près que un adieux. il n'y a qu'une petite chance que Juntid et la Bête ne soit pas au même endroit. Tout le long de la traversée, je n'avait pas la tête pour le paysage. arrivé sur la terre ferme, je remercia le capitaine avant de partir. Je passa deux semaines a arpenter le Royaume de la Terre, parcourant chaque parcelle de terre. Aucune trace de Juntid ni de la Bête. je pris un mois pour le royaume des cieux. Alors quee j'avais arpenté les deux territoires, je n'ai pas trouvé la moindre piste surr l'endroit où ils pourrait être. Il me manques le royaume de sous-terre. Nalfay m'avait dit qu'il avait déjà fouillé le royaume de la mers et rien. Au pire si je ne trouve pas au royaume de sous-terre, je fouillerai au royaume des mers.

En entrant dans le royaume de sous-terre, je ne pu m'empêcher de remarquer que la chaleur était montée en flèche et que partout on pouvais voir des voluptes de fumée sortir de ci de là du sol. Des rivière de lave coulaient comme aurait coulé des rivières. Le plus fascinant dans ce paysage, ce sont sans aucun doute des cristaux de lave flamboyant qu'ornait les plus extravant bijoux porter par les plus riches des nobles. J'appris que Athaën était en ville, dans la capital du royaume pour affaire politique. Pourquoi me priverais-je de voir mon frère le temps d'une journée où deux? Rien ne m'en empêche. Je décide donc de me rendre a la capital pour trouver mon frère.

Arrivée devant la ville, je fut éblouis. Une muraille noire d'encre protégeait la ville au nord, est et sud. L'ouest était construit sur le côté d'une immense montage, sans doute la plus grande que j'ai jamais vu, six ou sept fois plus grande que le mont-blanc. On n'apercevait pas le sommet de l'immense montagne. La muraille était perce d'une double porte en granit doublé de lave séché. Des gardes montaient la garde en haut des créneaux, tandis que d'autres étaient en bas, près de la porte ouverte, pour contrôler les gens qui s'engouffrait dans la ville ou ceux qui partaient.

Je m'avança prudemment sur le chemin de terre qui menait a la forteresse. Je passa la porte sans aucun soucis. Bientôt je distinguais les petites maisonettes qui bordaient la rue principale. Les gens avançait vers la place publique ou se tenait un grand marche local. Je fit un tour parmi les étalages. Sans m'attarder plus que nécessaire, je me dirigea d'un pas rapide vers le palais. C'est un énorme edifice de lave sécher, le meilleur matériel, en question de soliditer. Incassable, il offre la meilleur protection possible. Une dizaine de garde présent a la porte. Le palais s'enfonce a moitier dans la montagne. Je monte les quelques marche qui me sépare de la porte quand je me fais interrompre par un garde.

-Halte, declinez votre identité.

- princesse Yica du royaume des cieux.

-C'est ça et moi je roi d'Agobert. Décline ton identité mandiante.

-Je suis la princesse Yica du royaume des cieux. Appelez mon frère le prince Athaën du royaume des cieux pour confirmer.

-Tutoie le prince. Va t'en et nous ne dirons rien de ta conduite.

-Je le répète. Je suis la princesse Yica du royaume des cieux.

Le garde s'avance vers moi et me saisie le bras. Il me tire a l'intérieur et me fais traverse des couloirs jusqu'à atteindre une porte en acier trempé ferme a clef. Je doute que cette porte sois celle des invités du roi mais on ne va pas chippoter. Le garde ouvre la porte et me traine dans une cellule miteuse ouverte. Il me pousse dedans et ferme la grille a clef.

Ma légende, mon destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant