Amira TOM 2

Chap4

Je vous passe quelques mois a la fin des vacances de Noël aujourd'hui après les cours je m'étais arrêté dans un super marché pour acheter de quoi faire un gâteau pour faire une surprise à papa

Alors que je marche dans les rayon avec le chauffeur je perçoit une femme voilée tout en elle me rappelle maman elle était de dos elle portait des habits pas très cher modeste au plus profond de moi je ne voulais qu'une chose qu'elle ce tourne

Je m'avance tout doucement elle parlait avec le caissière et sa voix est si douce si maman n'était pas morte je jurait sur ma vie que se t'elle

A quoi pense tu Aliya elle est partie je ne la révérais plus jamais mais en ce moment je ressens un truc je ne pourrais expliquer sa me submerge

Caissière: Aissa tu bloque la circulation

Alors elle se tourne automatiquement je l'impression que mais pied m'abandonnait je ne ressentais plus rien j'entendais plus rien je ne voyais qu'elle elle a un sourire aussi claire que le soleil comme si se sourire a toujours était grave sur sont visage

Elle m'est si familier

Elle: je suis désolé

D'un cou suis tomber part terre elle se baisse automatiquement vers moi

Elle: est-ce que Xva

Moi: .....

Elle: je crois qu'elle fait une crise Habiba donne moi de l'eau

Elle me passe de l'eau pour boire mais je n'arrive pas

Elle: comment tu t'appelle

Moi: A .......Aliya

Elle: Aliya regarde moi reste concentré sur ma voix respire profondément et expire

Je fait ce qu'elle me dit et arrive à me calmer

Elle: bien mena bois de l'eau

Je bois elle m'aide à sortir dehor et on s'assoit sur un banc

Elle: tu fait souvent ces crises Aliya

Moi: .......non ........c'est .......ma première fois

Elle: et quel âge a tu pour terne seul ici c'est un quartier dangereux

Moi: 8 ans je suis venu avec le chauffeur toi tu t'appelles comment

Elle: Aïssa je travaille ici et m'a posé est déjà terminé je dois retourner

Quand le chauffeur arrive en courant

Lui: mademoiselle Xva vous allez bien

Moi: oui

Lui: nous devons passer à l'hôpital

Aïssa : c'était une Simple crise de panique

Elle me passe mais courses et s'éloigne en courant

Moi: non attend

Elle est déjà loin

Moi: ....tu me rappelles quelqu'un

Pdv de Aïssa

Habiba : pauvre petite faire une crise au milieu de se grand magasin et si tu n'étais pas là

Moi: elle s'appelle Aliya elle a 8 ans

Elle: qui laisse une enfant  seul ici

Moi: elle était avec le chauffeur

Elle: elle doit venir d'une famille riche

Moi: sont visage me dit quelque chose elle avait l'aire si triste et heureuse à la fois

Elle: tu te fait des films Aïssa comme on peut être riche et être triste toi t'es triste et laisse moi te dire que se la pauvreté

Je sais que sont visage me dit quelque chose Aliya Aliya quel petit fille mignonne

Pdv de Aliya

Je rentre encore boulversé je vient de la voir et si s'était elle je retrouve papa et tonton assis qui discute

Moi: je le vu c'était elle je le sais elle ne pas morte

Je était en pleur

Il se sont tous tournés vers moi

Tonton amira: calme toi ma reine qui a tu vu et où

Moi: MAMAN C' EST ELLE elle ne pas morte je le sais je le vu au supermarché

Papa: vient t'asseoir princesse

Je m'assois y'a un long moment de silence

Moi: je vous en supplie croyez moi

tonton: Aliya tu sais que Amira nous a quitté elle ne peut pas être vivante on l'a tous vu tu n'étais qu'un bébé

Moi: je ne sais pas comment mais c'est elle

Papa: Aliya stp ces juste ton imagination qui te joue des tour on aimerait tous qu'elle soit vivant

Moi: papa je dit la vérité

Tonton Amir: et que ta t'elle dit

Moi:  elle m'avait oublié elle a dit qu'elle s'appelait Aïssa et elle travaille dans ce supermarché

Papa: tu vois ce ne pas elle comme amira pourrait te voir et ne pas ce rappeler de toi amira te reconnaîtrais entre mille Aliya tu étais sa princesse a la vie à la mort

Tonton Amir: la journée a dû être fatigante va te reposer

Je monte sans un mot de plus pourquoi il ne me crois pas je dit la vérité y'a rabih je dit la vérité

Tonton: penses-tu qu'elle devrait voir un psy

Papa: non Aliya va bien elle est juste préoccupée une fille de sa classe la traite d'orphelin