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J'arrive devant ma porte suivie de mes "acolytes". Je suis tellement pressé que j'ai attendu personne je suis directement rentré. J'ai ouvert la porte, j'ai vue des daronnes et des filles de mon quartier ainsi que des tantes à moi. Il y a eu des cries de partout, j'ai entendu des pleures aussi c'était ouf.

Tout le monde m'a pris dans ses bras jusqu'à j'ai vue ma mère en pleure sur son fauteuil elle oser même pas bouger. J'ai sortie toute mes dents quand je l'ai vue. WAllah je suis même pas triste, je suis trop heureux de la revoir, rien que en la regardant j'ai que qu'elle aurait pas la force de ce levé alors je suis aller jusqu'à elle. Les larmes sur son visage n'arrêtaient pas de couler ça m'a rendu encore plus heureuse mais j'ai le coeur qui c'est serré en la voyant dans cette état, ça me fait toujours aussi mal de voir les larmes couler sur le visage de ma mère.

J'arrive devant elle, elle garde la main sur sa bouche sans bougé. Elle me regarde de haut en bas. Après quelque secondes elle fini par vouloir le prendre dans ses bras mais elle a même pas osé me touchée, elle a pas osé me touchée comme si j'étais la chose la plus précieuse à ses yeux c'est une dinguerie. Je vous jure j'ai sortie toute mes dents.

J'ai fini par le prendre dans mes bras. Et dire que j'ai faillit ne plus pouvoir la prendre dans mes bras:

Moi: sayez Yemmah, arrête de pleuré *grand sourire*

Elle me repousse et me tape:

Yemmah: arrêter de pleurer ? Comment ça ? J'ai faillit te perdre mon fils, tu a embrasser la mort, j'ai cru j'allais plus jamais te revoir
Moi: mais je suis là maintenant
Yemmah: al hamdou lli-llah oui, arrête de sourire
Moi: c'est parce que je suis content de te voir
Yemmah: moi aussi
Moi: et toi ? La santé sava ?
Yemmah: oui, al hamdou lli-llah tout va bien pour l'instant

Elle essuie ses larmes:

Yemmah: tu sais pas toi, comment Boubakzr il a pleurer
Moi: ah tu te moque de lui maintenant *petit rire*
Yemmah: je suis tellement contente de te voir, j'arrive pas y croire Ya اللّٰه

Elle me reprend dans ses bras.
J'ai du me détaché de ma mère pour saluer tout les autres. Je m'assoit à côté de ma mère, je pause ma béquille, rien que les daronnes se sont mise autour de moi, elles ont fait des prières, des duas, qu'Allah les préservent:

...: ILS EST OÙ ?


La porte d'entrée vient de s'ouvrir, Ines vient d'arriver deux sachet de pharmacie dans la main, miskina elle est toute essoufflée on dirait la gow elle a couru elle a donné sa vie. Elle s'est arrêtée pour respirer:

Selim: wsh t'a vue un phantom ou quoi ?
Inès: mon frère *respire* mon frère *respire* il...il est où ? *inspire* Ibra...Ibrahim
Tarek: calme, il est au salon
Inès: dit wAllah, putain je vais pleurer *respire*

Elle a à peine fini sa phrase qu'elle c'était déjà mise à pleurer. J'ai pas arrêté de sourire:

Selim: wsh tu la même pas encore vue tu pleure
Inès: c'est l'émotion putain, le soulagement
Bakar: *rire*

Après quelques secondes elle a fait son apparition au salon. Des qu'elle m'a regardé son regard c'est illuminer:

Inès: Ibrahim *pleure*

Elle vient me prendre dans ses bras:

Inès: Ibrahim.... je vais mourir t'es en vie *pleure* c'est pas des lols
Moi: al hamdou lli-llah
Inès: al hamdou lli-llah, grave à Dieu
Inès: sa y est je vais plus arrêté de pleurer je suis trop heureuse
Ines: quand on m'a dit ça wAllah j'ai crue mon coeur il allait lâcher, zehma t'es de retour
Moi: oklm

𝙸𝙱𝚁𝙰: « 𝚕𝚎 𝚖𝚞𝚎𝚝 𝚍𝚞 𝚐𝚑𝚎𝚝𝚝𝚘 »𓆈Where stories live. Discover now