Vous connaissez ce sentiment ?
Ce sentiment indescriptible d'avoir trouvé 𝒍𝒂 personne et de l'avoir enfin à vos côtés ? Il peut paraître si dérisoire d'être dans cet état mais quand ce sentiment vous prends, vous planez au dessus de milliers de k...
Je claque la portière de sa voiture avant de me remettre correctement mes gants. Une forte odeur de souffre se dégageait du bâtiment, je regarde Abbie avant de lui dire :
_ T'es sûre qu'il est vraiment abandonné cet entrepôt ?
Abbie _ Ouais. Prépare toi.
On s'avance toutes deux à l'entrée de l'entrepôt, les portes étaient grandes ouvertes le vent qui s'engouffrait à l'intérieur ce provoquait un grand courant d'air. J'entre en première toujours sur la pointe des pieds avant de demander à Abbie :
_ Qu'est ce qu'on est venue faire ici ?
Abbie _ Chercher des preuves.
_ Quoi comme preuves ? Je sais pas si t'a remarqué mais il y a quasiment rien à voir dans cet entrepôt.
Abbie _ Tu la ferme jamais toi, hein ? Allez avances *en mettant un coup aux fesses*
e lui rend un regard noir en guise de réponse et on continue à pénétrer dedans tout en essayent de faire le moins de bruit possibles. En arrivant dans le fond de la pièce, j'aperçois la cabine de surveillance de l'entrepôt. Je fais signe à Abbie de s'approcher.
Abbie _ On va récupérer les cassettes des caméras de surveillance.
_ La zone industrielle est immense, Abbie y'a au moins vingts bâtiments comme ça, pourquoi on devrait prendre les cassette de ce bâtiment ?
Abbie _ ROH mais tu me casses les couilles avec tes questions, fais ce que je te dis et ferme là !
_ Tu parles à qui ? * en m'approchant dangereusement d'elle* Abbie reparle moi encore une fois et j'te ju...-
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Le bruit d'une chaise tombant se fit entendre dans tout l'entrepôt, surprise on se regarde tout les deux.
_ Y-y'a quelqu'un qui est là haut..
Abbie ne prends même pas le temps de me répondre et s'élance dans l'escalier menant à la salle de surveillance, elle ouvre la porte avec fracas et s'engouffre dans la pièce.
Tétanisée je n'arrivais même plus à bouger mes jambes... Oh mon Dieu Oh mon Dieu voilà tout ce que je n'arrêtais pas de me dire dans ma tête. C'est vraiment réel ? On va vraiment devoir se battre pour notre vie ? Je peux pas... j'en ai pas le courage.
