Chapitre 15 : Le face à face

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Dans la peau de Brianna

Je me réjouis, j'avais bien avancé. Je m'assis sur la chaise et je fixai la photo de mariage de ma mère. Ma mère me manquait énormément. J'étais plongé dans mes pensées que je n'entendu pas tout de suite la sonnette, je me retirai mon casque. Je me levais telle une automate. Je pensais que c'était le livreur de pizza, on ouvrant la porte, je vu Paul. Je fus choqué de le voir avec un bouquet de fleurs. Je lui dis :

- Qu'est-ce que .... Paul me coupa la parole et il me dit :

- Puis-je rentrer ? Je ne pense pas que vos voisins ont besoins d'écouter notre conversation. Je laissais Paul entrer, Paul parcourait la pièce et il lui dit :

- Vous partez ?

- Oui, vous êtes au courant, je n'ai plus de travaille

- Justement, je voudrais m'excuser. J'ai fait une erreur de jugement.

- Vraiment ? Vous pensez quelques excuses vont tout arranger ?

- Je l'espérai. Pardonnez-moi

- Je vous pardonne maintenant vous pouvez partir.

- J'ai une proposition à vous faire.

- Elle ne m'intéresse pas, vous pouvez partir.

- Vous n'avez même pas écouté ma proposition.

- Parce qu'elle ne m'intéresse pas.

- Je vous propose de reprendre le poste d'agent comptable et votre salaire serait triplé

- Ça ne m'intéresse pas, vous connaissez la sortie.

Je retournai dans mes cartons, je me baissai pour ramasser mes affaires et les mettre dans le carton. Paul m'observa, il s'approchait de moi et il me dit :

- Pourquoi ne m'avoir pas dit que c'était toi jeudi soir. D'abord pétrifié, je restai paralysé par la peur, après un long silence, je lui répondis :

- J'ai promis de rien dire.

Paul s'approchait de moi, il levait la main vers mes cheveux et il jetait les épingles qui retenaient mon chignon, ma longue chevelure se rependit jusqu'à mes reins, il me dit :

- J'ai tellement rêvé de toi, de t'embrasser.... Tu hantes mes rêves.

- Ça suffit, je ne craque pas pour vous.

Paul éclata de rire, puis avec une douceur extrême il caressa mes cheveux, les lèves de Paul s'approchait dangereusement de mes lèvres, je reculai encore un peu et zut je me cognais contre le mur, il mettait ses mains entre le mur et moi. Paul me dit :

- Pourquoi nier l'évidence, je te désir et ton corps me désir.

- Je ne peux pas...

On n'y tenant plus Paul m'embrassait, je mettais déjà mes mains sur son torse pour le repousser mais le baiser que Paul me donna, me fit perdre la raison, je sentis les mains de Paul passé sous mon débardeur et m'aida à le retirer. Je commençais déjà déboutonner son chemisier. Quand soudain la sonnette de l'entrée se mit à sonner. Je repoussais Paul, et enfilait mon débardeur. Je me dirigeai déjà à l'entrée. J'ouvrais la porte c'était le livreur, je récupérai ma pizza et payait le livreur. J'allai en cuisine et mangeait ma pizza. Paul me rejoignit, je lui dis :

- Je vous croyais parti

- Notre conversation n'était pas finie

- Vous devriez partir

- Pourquoi tu es partie après la nuit qu'on a passée ?

- On n'avait plus rien à se dire.

- Moi j'avais beaucoup de chose à te dire.

Amoureuse d'un princeWhere stories live. Discover now