Revenue en Démon

chapitre 2

PDV giyu

Sa fesait plusieurs heures qu'on marchaient en direction de la forêt enneigé. Cette forêt est vraiment très loin. Je sais aussi que celle-ci est extrêmement grande, certaine personne la sûrement "La forêt sans fin", elle est aussi connue pour ces arbres qui sont du grandeurs incroyables, sans parle des démons qui logent dans cette endroit, il doit en avoir une centaine... Peut-être pas autant mais je sais qu'il y en a beaucoup. Je crois me souvenir qu'il y a un petit village dans celle-ci, je trouve sa complètement absurde que des humains habitent dans une forêt pareille.

Plus on avançait, plus il fesait froid, la fraîcheur était pour l'instant supportable. Je regarda mon équipe, Shinobu sourit comme à son habitude, Sanemi, lui, on aurait dit qu'il tirait la tronche et Obanai restait neutre. Enfin bref... Shinobu ouvrir la bouche pour parler :

Shinobu - Après cette mission, on devrait aller voir le maître ? Les six mois sont bientôt passés je crois.

Obanai - Oui. Si nous réussissons la mission à temps, les six mois seront bien passés.

Sanemi - Bien sur qu'on va la réussir à temps cette mission ! On n'est pas des piliers pour rien ! Criat-il

Certains paysans qui passèrent à coter de nous et regardaient le pilier du vent surpris par le faite qu'il criait.

On vit enfin la forêt de loin, les arbres étaient véritablement d'une grandeur fondamentale. Plus on s'approchait plus je me sentais plus petit qu'une fourmi. Je sentit, d'un coup, un vent extrêmement frais, ça me glaça le visage, des frissons de froid me traversé tout le corp comme le reste de mon équipe. Nous avions décidé de se séparer en deux groupes, Shinobu avec moi et Obanai avec Sanemi, cette idée me déplaisait, il est beaucoup plus prudent de rester grouper mais bon... Tant pis. Les piliers du vent et du serpent montèrent dans les arbres pour avoir une meilleure vue, puis Shinobu et moi-même somme rester les pied sur terre. C'était difficile de bien avancer avec cette épaisseur de neige, j'espère que sa ne nous générons pas. On s'enfonça avec prudence dans la forêt. Cette forêt est gigantesque, on voit même plus le ciel a cause du feuillage des arbres, c'est comme si il fesait nuit, alors qu'on ai en milieu d'après-midi. Pour le moment je ne sens aucun démons qui rôde dans les parages. Shinobu soupira et pris la paroles :

Shinobu - Je trouve que c'est beaucoup trop silencieux et normalement il y a un petit village dans ses bois ?

Giyu - C'est se que nous a dit une paysanne du village qu'on avait croisé tout à l'heure, tu sais avec les champs de blé qui résidaient autour des maisons.

Shinobu - Oui je m'en souviens.

Il y a eu un instant de silence jusqu'à se qu'elle reprenne la paroles :

Shinobu - Tu ne pense pas qu'on devrait se séparer on pourras trouver plus vite le démon qu'on cherche, souriat-elle.

Giyu - Je ne pen-...

Je n'ai même pas eu le temps de placer une phrases complètes qu'elle me coupa la parole :

Shinobu - Très bien faisons comme sa, continue au Nord, moi au Sud, je vais demander au garçons ils veulent aller de quelle coter. Aller sayonara !

Elle parti dans les arbres pour prévenir Obanai et Sanemi. Je n'ai même pas pu donner mon avis personnel. Je commença à faire un long soupirer. Je suis fatigué, la neige me fatigue énormément...

Sa fesait plus de trente minutes que je marchais, j'etait à moitié gelé, jusqu'à se que j'aperçois des lumières entre les troncs d'arbres et de la fumée. Je me mis sur met garde instantanément par réflexe et par habitude. J'avançais prudemment vers les lumières, j'avais mes deux mains posaient sur mon katana près à le dégainer en cas de besoin. C'est peut-être  le démon ! Non c'est impossible, un démon ne serait pas assez bête pour faire un camp, il serait vite repérables. Je m'avançais petit à petit, a pas de loup. Quand j'arrivais devant la lumière, je vis un feu de camp avec autour des cabanes en bois et en baille. Alors il était là se fameux village. Une jeune femme m'aperçoit, elle avait les cheveux long noires et des yeux vert pomme. Elle était vêtu d'un hakama classique. Elle me regarda d'un ait neutre et sortit un tir a l'arc et me visa avec celui-ci. Puis elle pris la parole avec une voix tout aussi neutre que son visage :