juliette Echeveria une fille ordinaire de 17ans, quite son pays d origine avec sa famille et se fait inscrire dans un lycée où elle fait la rencontre d une fille bourgeoise se prénommant ashley 16ans au carractere bien trempé et à partir de là ell...
Tout commence par notre demenagement . Je suis juliette Echeveria j ai 17ans et je suis la fille ainée d une famille de 3filles. Mes petites soeurs et mes parents et moi sommes portugais et vivions au Portugal à LISBONNE
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avant de demenager pour la france en raisons de multiples raisons: Dabord pour commençer,ma mère tenais une patisserie ou elle faisait des merveilles avec ses mains de cordon bleu. Je me souviens encore de l oddeure de la patte cuite qui me reveillai chaque matins. Je n avais pas de reveil car celle ci faisait office de doux reveil car nous vivions tout en haut de la patisserie. Une fois le pain sorti du four j étais déja sur pied à attendre que mes petites soeurs descendent pour que notre père qui ,buvant déja son thé assis sur un canapé en lisant le journal puisse nous conduire à l école. Une fois descendu,on pouvai aperçevoir un bon nombre de personnes regroupé devant la vitrine de la patisserie de ma mère à attendre d être servi de ses delicieuses patisserie.
Une fois mes petites soeurs descendu,on fit un bisou rapide a maman puis on se mit en route. Mon père était un agent immobilié très demandé.
S est un homme très perspicasse en matiere proffesionnalisme. Mais parfoit on en payai les frais vu qu il ne passait qu une infime parti de la son temps avec nous(le soir vers 22h)et s ennalais dès 7heures du matin.
Mon lycée était à 10minuttes à pieds de la maison ,donc je faisais la moitié du trajet en voiture et l autre à pieds dès que j aperçevais mes meilleurs amis: _manuela _pablo et endrew(des jumeaux) M attendant devant l arret de bus. Alors on faisait le chemin ensemble en rigolant de bon coeur. Enfin jusque là tout allait mieux ,mais il fallut qu un soir ....
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Un soir la patisserie de ma mère pri feu sans qu on ne s eperçoive de quoi que se soit. À peine j étais reveillé par les cris impertinant du voisinage que je fus évacué par des pompiers. Une fois en bas je ne réalisait toujours pas ce qui se passait. Ma mère était completement abattu et pleurais sans cesse tandis que mon pere tennait mes petites soeurs entre ses mains selles ci apeurées et enrobées de couvertures.
Très vite les factures s accumulaient et n en finissait pas. Malheureusement le salaire minim de mon père ne suffisait pas à payer soit: Les frais de scolarité de mes petites soeurs et moi,a manger,vêtements,remboursement d impots que ma mère eu a payer,factures d eau,electricité etc...
Alors un matin il reçu un couriel depuis la france lui proposant un meilleur emploi.
Voilà comment on en est arrivé là! Les choses sont allé tellement vite que je n eu même pas le temps de dire aurevoir à mes amis qui étaient pour moi comme des frères vu qu on a grandi ensemble.
