Chapitre 6

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Les sentiments ne se contrôlent pas et c'est bien dommages, car je n'arrive pas à cacher ce que je ressens pour Karol, si bien que toute ma famille est au courant, de ma mère à l'oncle de la cousine de ma cousine éloignée. 

Maintenant, je me balade comme un zombie dans mon appartement en réfléchissant  à ce que je pourrais faire maintenant.

Cela ne sert plus à rien de reconquérir Karol, j'ai besoin de l'oublier comme elle a su le faire. Hier soir avec les garçons on s'est bien amusé à jouer à la switch en buvant des bières de qualités, qui nous donner l'eau à la bouche.

Souffrir, j'ai cru que je ne souffrirai plus jamais, pourtant j'ai l'impression que mon destin est entre des mains de la souffrance.

Je ne souhaitais plus jamais avoir de nouvelles, de contact... Ne plus entendre parler d'elle, mais c'est déjà trop tard, son nom est dans ma tête, dans mon cerveau et dans mon cœur.

Je dois guérir avant que je sombre dans une dépression, sans pour autant aller chercher autre chose. Comme certaines personnes font dans les films ou dans des romans à l'eau de rose.

Cande m'en a déjà fait lire, c'est vraiment ennuyant, mais les filles aiment bien et certains garçons aussi.

Ma journée ennuyante viens à peine de commencer je sens qu'elle va être très longue, si je ne m'occupe.

Je sors un Monopoly de mon carton de vieux jeux que je n'utilise plus et redécouvre le jeu en prenant le pion voiture et le pion chat en jouant tout seul. 

C'est assez amusant mais je m'ennuie vite. Donc je décide de sortir dehors pour prendre l'airen prenant ma veste en cuir au passage.

Il faut que je marche, parce - que je pense quand je marche, parce - que j'avance quand je marche, parce - que je rêve quand je marche.

Je passe par une petite ruelle, un passage secret que j'ai découvert la semaine dernière, (Il n'est pas si secret puisque tous les jours les gens passent dedans) puis je dérive sur un jardin public avec de très beaux labyrinthes d'herbes et de belles fleurs originales. 

Je me balade entre tous les labyrinthes en souriant à toutes les personnes qui se promènent. Puis j'équarquille les yeux en voyant Mike et Agus qui se promènent aussi nau même endroit que moi. 

Je me rendis vers eux.

- Salut les mecs ! lancai - je en leur faisant un tchek.

Ils me répondirent la même chose, nous sommes tellement synchro, puis nous parlons de tout et de rien en se baladant dans un énième labyrhinte et nous croisons Karol qui parle avec Ana, Agus me tire le bras pour me cacher derrière un buisson, entre temps mon tee - shirt se déchire et ma veste en cuir est idem. 

- Je ne comprends pas expliqua Karol, j'avais oublié Ruggero, puis là il revient comme une fleur, je pensais Fede, je crois que je l'aime... Mais c'est compliqué...

- Oui compris Ana, tu te rends compte à quel point Tu aimes Ruggero et Federico.

- Je crois comprendre Ruggero quand il était avec Cande ! Je ressens la même chose ! Enfin... Je ressens quelque chose de plus fort pour Ruggero.

- Donc ça veut dire que tu n'aimes pas Fede, tu dois le quitter.

- Mais, mais, je ne peux pas, c'est horrible ce que tu me demande, je vais le faire souffrir.

- Et toi c'est horrible, parce - que tu lui fait de faux espoirs et tu te fais souffrir toi et en même temps Ruggero.

- Qu'est - ce que je dois faire Ana ? 

- Suis ton cœur c'est la seule chose que je puise te dire.




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