Epilogue

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Jake : Putain... Qui peut bien m'appeler à cette heure-ci

Je décroche le téléphone et j'entends une voix qui m'était familière et désagréable, c'était celle de mon collègue Dennis il m'appela pour enquêter sur une scène de crime, un massacre sanglant d'après ce qu'il m'a décrit.

Je tourne ma tête vers le réveil qui m'affiche 01h40 am, je compris que ma journée commencerait maintenant, j'avais promis à ma femme de faire le jardin aujourd'hui mais que voulais vous, le métier de flic ça ne réussis pas tout le monde.

Après que j'ai finis de noter l'adresse d'où se trouver la scène de crime que Dennis m'avait expliquer je lui ai répondu "J'arrive", alors que "Va te faire foutre" aurait été une phrase plus appropriée. J'ai enfilé ma chemise de la journée ainsi qu'une cravate non serrée, je pris ma veste et en sortant de la maison je vis encore les jeunes faire leur trafique, je pouvais très bien les coffrets mais personnellement qu'est ce que j'en ai à foutre.

Une fois dans ma caisse je me suis enfilé une clope histoire de commencer cette putain de journée avec un peu de goudron dans les poumons. C'est clair que je suis un bon consommateur de clope, ma femme me tuerais si elle me voyait encore fumer moi qui lui avais promis la semaine dernière que j'arrêterais.

J'ai démarré ma caisse et je ressortis l'adresse que j'avais noté 127 Miami N-E encore un crime passionnel qui montre comment notre ville pouvais être merveilleuse, c'était le troisième crime passionnel de cette semaine et j'avais encore une affaire de tueurs fous à réglé qui donner un de ces maux de crânes.

Arrivé à la scène de crime je vis mon collègue Dennis il me dit :

Dennis : Te voilà Jake !

J'avais envie de lui éclater la gueule pour m'avoir privée 8 heures de sommeil, mais je lui répondis :

Jake : Où se trouve nos chers amants ?

Dennis : Avant que je te les montre tu dois d'abords voir ça !

Je vis en face de moi un massacre digne d'un film d'horreur hollywoodiens, ce massacre était similaire à ceux des tueurs fous sur lesquels j'enquête, j'ai enfilé une deuxième clope cette scène me rendait nerveux. Le plus étonnant dans tout ça c'est que je ne vis aucunes blessures par balles, notre tueur aurait-il attaqué à main nues ?

Jake : Quels sont les armes du crime ?

Police criminel : Une batte de baseball Monsieur, notre tueur c'est donné la peine de finir toutes ses victimes avec une batte de baseball mise à part cette victime.

Pour cette victime le tueur lui avait sacrément refait le portrait... Pendu à un lustre ? Même notre tueur Tony le tigre aux poings furieux était moins brutale avec ses victimes.

Jake : Qu'elle est le nom de la victime ?

Police criminel : Edouard Connor Monsieur.

Un vrai nom de dur à cuire... Ben dis donc mon gars ta eu la chance d'atteindre le sommet.

Jake : Bon Dennis tu m'amène chez les amants ?

Dennis : Part là.

Je vis 3 cadavres dans la chambre, une femme métisse cheveux noir court allongé sur un homme blanc cheveux blond, et de l'autre côté une femme blanche cheveux blond allongé aux sols avec des morceaux de chair arraché au niveau de la gorge. Ils avaient tous dans la vingtaine pas plus. Des vies gâchées aussi bêtement... J'ai enfilé une troisième clope juste à l'idée de voir ce que la fougue de la jeunesse pouvait créer.

Dennis : Jake tu es sûr que ça va ?

Jake : Ouais j'ai juste besoin de dormir.

Dennis tu devrais y aller je m'occupe de la paperasse.

Jake : Ouais je crois que c'est le plan à faire.

Pour être honnête la sauvagerie de ce crime m'a rappelé celle des tueurs fous... J'ai enfilé une quatrième clope... Bordel cette ville par à la dérive. La machine est lancée et il n'y a aucun moyen de faire marche arrière. Demain une longue et pénible journée m'attend, tant que les démons seront présents cette ville sera incertaine et je ne pourrais pas fermer l'œil.

Fin

JimmyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant