OS Kpop - animé boy/girl x reader

Shura du Capricorne - Captive 桃

〒 Univers : Saint Seya
〒 Détails : Le serpentaire sera compté comme une constellation d'or ! Entre le scorpion et le sagittaire, celle-ci est en réalité plus longue que le scorpion.
〒 Présence de scènes à caractères sexuels hard... Genre vraiment très hard (ptdrrr il y a que ça enfaîte donc les sensibles, abstenez vous..)

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Serpentaire, une constellation d'or pourtant oubliée de tous, indépendante et indifférente aux choix et ordres du sanctuaire.

Dès mon enfance, j'avais cette étincelle, ce don innée qui m'avait permise de posséder l'armure du serpentaire.

Un talent que je n'avais nul besoin de perfectionner, après tout, j'étais moi aussi, chevalier d'or ! Les ordres du sanctuaire me passaient bien au dessus de la tête, après tout, je ne devais servir que la princesse.

Ainsi, je voyageais un peu partout afin d'éviter de tomber sur les autres chevaliers, pas que je ne puisse pas m'en occuper seule, loin de moi cette idée. Je cherchais seulement la tranquillité.

Cependant, comme le prévoyait l'équilibre naturel de notre univers, la souris ne peut éternellement échapper au chat. La brebis ne peut fuir de la gueule du loup, une fois le filet lancé le poisson ne peut plus s'enfuir.

- Je t'arrête pour trahison envers le sanctuaire, T/p du Serpentaire.

- Trahison ? Quels actes pouvez vous bien citer ?

- La liste est longue, rends-toi où bien je te traquerai et tu le regretteras.

Bien sur, en chevalier d'or respectable, je me suis enfuie, lui souriant de façon narquoise au nez. Ma tête placardée sur tous les murs du sanctuaire par le grand prêtre, je pouvais me douter qu'il n'allait pas abandonner.

Cependant, ce que je ne pouvais pas comprendre c'était pourquoi il me traquait lui en particulier ? Peut-être le connaissais-je dans ma vie antérieure ? Quoiqu'il en soit, rien qui ne m'intéresse.

La tout de suite, ce que je voulais savoir c'était comment je me suis retrouvée de ma résidence privée comme le disent si bien les humains, à une cage dorée..

- Je peux savoir comment t'as fais ?

- Tu devrais faire moins confiance à tes domestiques ma jolie. M'assure le chevalier d'or en s'approchant.

- C'est dégueulasse.

- C'est malin, je dirais. Enchaîne celui ci.

- Maintenant au moins je pourrais savoir qu'est ce qui a bien pu amené le sanctuaire à me rechercher à travers toute la galaxie ?

- Absolument aucune raison, si ce n'est... Moi

Des années s'étaient écoulées depuis que le dernier jour où j'avais posée le pied dans ce maudit sanctuaire. Mais je pouvais m'en douter, le seul qui puisse m'y amener de retour, il n'y avait que lui..

Sa charnelle et obsessionnelle passion pour moi, le rendait malade, ce n'était pas étonnant, je savais que ce jour arriverait. Après tout, il me l'avait dit de lui même << Tu m'appartiens T/p, au fond tu t'en doutais, n'est ce pas ? >>.

- T/p, pourquoi as-tu quittée le sanctuaire ? Pourquoi m'as tu laissé ?

La voix faussement inquiète du chevalier d'or résonnait dans ma boîte crânienne. Il m'était trop énigmatique à comprendre, je ne l'avais vu que si peu, et pourtant, il s'était épris d'un amour maladif à mon égard.

Sa silhouette devenait de plus en plus visible malgré la pénombre qui régnait dans ma cellule. Je l'avais toujours trouvé attirant, c'était indéniable. Inquiet pour ses confrères et bâti tel apollon, peu de jeune femmes savaient lui résister.

Cependant, lui avait choisit le camps adverse et moi celui de la princesse. Je ne pouvais qu'analyser le lieu où je me trouvais tandis que sa main se rapprochait dangereusement de mon visage.

Les mains enchaînés habilement dans le dos, mon armure retirée, mes mouvements étaient restreints. Sa main se pose finalement sur ma joue qu'il caresse d'un sourire carnassier.

Il s'accroupit afin de se retrouver à mon niveau et éclate d'un rire incompréhensible.

Il entre dans la cage qu'il referme aussitôt derrière lui, ne me lâchant pas du regard.

Il place ses mains sans attendre sur mes hanches, malgré sa svelte carrure, sa poigne ne manquait pas de force et passé une mains à mon dos, détachant mes mains.

Son souffle s'abattant sur mon visage, il se rapproche toujours plus jusqu'à venir effleurer mes lèvres. Il m'accorde finalement un court baiser, et répète cette même boucle, un contact court et electrisant répété à quelques secondes d'intervalles. Las de ces sensations sans doute trop fade, il dépose finalement ses lèvres sur le haut de mes croissants de chair avant de la mordiller. La mordillant au point de la faire gonfler, j'entrouvre mes lèvres, laissant un léger gémissement de douleur passer. A ce geste, il en profita pour y glisser sa langue, explorant chaque millimètre de ma bouche, m'asphyxiant presque. Il s'arrête finalement, me laissant à bout de souffler pour au final se jeter de nouveau sur mes lèvres avec plus de fougue.

Ne laissant pas ses mains de côté, il me déshabille lentement mais sûrement, retirant d'abord mon bas de pantalon, caressant ainsi mes hanches qu'il tient fermement. Petit à petit, subtilement, il me recule jusqu'au mur, ou mon dos se retrouve donc bloqué. Une main se logeant sur le creux de ma hanche, l'autre monte jusqu'à mon cou, venant ainsi accentuer chaque baiser qu'il me donnait.

Il se sépare de me lèvres, déposant ses croissants de chairs sur mon cou afin de le mordiller, laissant une fine ligne de traces violacées sur son passage. Sous mes légers gémissement, sa main restée sur ma hanche descend jusqu'à mon nombril, approchant dangereusement de mon entrejambe.

Sentant mon insécurité et ma panique, il affermit sa prise sur moi, me regardant droit dans les yeux puis réappuyant ses lèvres sur les miennes dans une longue danse langoureuse. Sa main descend jusqu'à mon sous-vêtement, qu'il tâte de ses doigts à travers le tissus.

Infiltrant ses doigts à travers mon sous-vêtement, il le retire doucement jusqu'à mes cuisses et vient caresser mes lèvres, effleurant par moment mon noyau de plaisir. Se contentant de caresses anodines, il descend son autre main jusqu'à ma poitrine. Il titille du bout de ses longs et fins doigts mes mamelon, qui durcissent sous la douce torture qu'il me procure. Les douces adresses qu'il exerce sur mes lèvres, contrastent avec la ferveur avec laquelle il s'amuse avec mon sein, le triturant de tous ses doigts. Pinçant, caressant et petrissant ma poitrine il retire finalement mon haut, ne me laissant pour barrière, plus que mes sous vêtements.

Prise par ce vif sentiment de luxure, je m'accroche à son haut, effleurant sa musculature abdominale au passage. Me laissant aller à cette envie charnelle qui me saisissait, je le déshabille à mon tour, sous son plus grand bonheur. Descendant comme je le peux son pantalon jusqu'à ses cuisses, celui-ci glisse tout seul à ses pieds. Je passe mes mains sous son haut, caressant ses muscles finement tracé. J'appréciais ce que j'avais sous les mains, mais aussi et surtout ce qu'il me faisait endurer.

- Finalement, tu aimes ça hein, attachée et soumise comme une chienne. Fit-il finalement.

Il semblait redoubler d'ardeur par mon visible consentement, il passa donc à l'étape supérieur. Il descend donc son dernier sous vêtement, stimulant légèrement la grosseur proéminente entre ses jambes, et dépose une nouvelle fois sa main sur ma hanche. Il descend jusqu'à ma culotte, qu'il glisse sur le côté avant de me pénétrer de tout son long. Il s'arrêta une fois entièrement à l'intérieur, observant mon visage tordu de douleur, s'apercevant qu'il était allé trop rapidement.

- Je veux t'entendre, que tes sons résonnent à travers tous les murs du sanctuaire, me susurre-t-il a l'oreille.

Accompagnant ses mots de gestes conséquents, il entama de violents vas et viens en moi. Il pénétrait mon sexe avec violence, laissant ainsi entendre le bruyant claquement de nos hanches dans cette cellule.