Aventures Luxurieuses de Ostrax Roseastra

Liya

Sur les terres de Japrein, en pleine quête auto sabotée. Il fait nuit, enfin, et après une longue journée bruyante et fatigante je prends enfin le Courage en main pour séduire cette douce elfe de mon équipe.
Comme une fleur, j'attend son apogée pour la cueillir, trois aventure suffise et rien de mieux que les bois pour une elfe et un Dieu du printemps.. au niveau de Erith les petites faunes illuminées nous offre l'opportunité de savourer la beauté des courbes de nos ombres, cette femme ravissante soit elle est d'un caractère bien difficile mais c'est bien pour ça que je prépare le grand jeu.
J'amène Liya la dite elfe archer au pied d'un arbre somptueux et la plaque contre son écorce, ma griffe longent son cou jusqu'au menton sans jamais la quitter du regard.. Une fois perdue par mon initiative, je défais ses lanières, ceintures et autres breloques pour tapir mes mains sur la courbe de ses hanches en soufflant un air chaud dans son cou, contrastant avec le froid de la nuit, faisant frémir sa peau blanche et pointer ses oreilles.
Je déboutonne son chemisier sous la douce mélodie de sa respiration excitée, j'arrête à mi-chemin pour baiser son buste à peine découvert et glisser ma langue entre sa lingerie et sa poitrine, offrant pour réaction son coup de griffe sur l'écorce de l'arbre. D'un ricanement qui l'énerve au plus haut point je me met à genoux et déficelle son pantalon et baisse fermement le tout, tout en baissant le dessus de sa fleur, cette peau incroyablement douce, moite et chaude. Un léger silence s'installe, elle croise mon sourire en coin laissant comprendre mon action à venir, elle défonce ses sourcils et masque sa bouche de ses deux fines mains.. et d'un élan gourmand je plonge ma tête et écarte ses cuisses intérieurs avec mes pouces.
Intéressant cette lueur particulièrement brillante qui coule le long de ses cuisses et de mon menton, j'ai jamais eu affaire à une sève aussi.. brillante, mais le goût et les gémissements.. eux je les reconnais et je m'en délecte agréablement aussi. Après quinze minutes de tortures, j'accélère les coups de langues et glisse deux de mes doigts afin d'ajouter une difficulté à son silence, d'un ton énervé Liya me chuchote « arrête ! Je.. t'en supplie a.. arrête j'en peut plus ». Je retire mon visage, luisant du nez jusqu'au buste tout en continuant d'enfoncer mes doigts avant de me faire griffer le visage par reflex tout en la laissant étouffer très mal un orgasme particulièrement saisissant : ses yeux qui palpitent, sa bouche entrouvertes criant en saccade, ses cuisses qui ce referment sur ma main et encore une fois.. mon visage ce faisant griffer.
Je pose mes mains au sol et d'un sort de magie élémentaire je fais pousser en liane fleuri une balançoire à bonne taille. Très ravis de ma création je prend Liya par la taille, ses jambes tremblent encore c'est adorable, et je l'aide à prendre place.. D'une caresse sur sa joue je lance ma métamorphose juste le temps que quitter mes habits et je redevenir à mon état entièrement dénudé. Ma peau bouillante nu contre la sienne encore fraîche, saisie sa jambe droite avec ma queue de chat et sa taille de ma main gauche pour la coller à moi avant de lever ses cuisses, lui offrir un baiser et la pénétrer délicatement. Je pose le décor avant de me lancer dans l'ébat. Une forêt enchantée, un calme paisible, un feu qui crépite au loin, une lune étincelante, des lucioles et des fées luminescentes dansantes dans les cimes des arbres, voilà un cadre qui laisse à entendre une étreinte délicate, pas « baiser, mais faire l'amour » comme ont dit. Alors passionné, mes mains sur ses cuisses je la balance délicatement contre moi tout en l'admirant dans les yeux, un éclat d'innocence dans cette abondance de plaisir, je la sens pour la première fois déconnectée de la réalité.

Plus fermement saisie à la base de ses cuisses j'augmente le rythme commence à baiser ses cuisses en lui disant les milles et une raison de sa beauté, c'est vrai qu'elle me plaisait énormément, cette douceur inaccessible, portant qu'un sentiment visible, celui de l'amour pour la boisson. Perdu dans mes pensées j'esquisse un sourire qui l'a trouble, et ses jambes sur mes bras je saisie son visage et me penche pour l'embrasser, donnant ainsi des coups plus secs et profonds.
A la fin de ce baiser je ne la quitte pas des yeux, tout en posant mes mains sur ses oreilles pointues, pour les caresser délicatement, c'est assez spécial de ce dire que c'est une zone érogène, mais pour combler il faut savoir exploiter tout les outils qu'on nous donne..
L'ébat, bien plus sensuel que brutal commence à ce faire entendre et l'endroit n'est pas tout à fait sur, et surtout nous voulons éviter le regards de nos collègues du camp, dans la délicatesse de l'instant je décide de porter Liya, ses jambes sur mes bras, mes mains sur son dos et j'assène des coups puissants de tout son poids en masquant mes gémissements dans sa chevelure tombante dans son cou, la laissant seule chantonnante dans le bois, ce mordant les lèvres et me griffant le dos jusqu'à ce que tout mon désir accumulé pour ses beaux yeux ce déverse en elle, nos corps instantanément re soumis au temps, gelé et usé, je la pose sur la balançoire, laissant un dernier baiser sur son front avant de courir maladroitement prendre ses affaires.. après dix minutes à nous habiller de nouveau dans un silence timide, je lui offre une de mes potions légères de vigueur pour qu'elle reprenne possession de ses moyens, tout en lui faisant pousser magiquement une fleur de lys blanche, là posant dans sa chevelure étincelante avant de repartir comme des vagabonds aux camps en essayant de faire comme si de rien n'était bêtement, laissant la balançoire à un futur couple opportuniste..
Un sommeil bien mérité pour nos aventuriers, bien que trop courte pour deux d'entre eux