Chapitre 1

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je suis assis sur mon lit et regarde par la fenêtre en pensant a ce qu'il pouvait bien faire a cette heure, sûrement s'engueuler avec sa sœur comme a son habitude, a cette pensé un sourire vient décoré mon visage pale. L'air du ventilateur viens caresser ma peau et vient faire voler mes cheveux qui cacher mon regard fatigué. Mon regard se pose sur mon ballon de volley, je souris car son visage, son sourire, son regard, je rougis à la penser de son regard sur moi, ce regard si spécial, je me sens unique quand il me regarde, je me sens moins seul.

Je décide de me lever maintenant que le soleil commença a éclaircir les rues, je peux enfin aller marcher emprisonner par mes pensées accompagner de magnifique musique.

J'enfile donc un jogging gris, un sweat pour cacher ce corps que je hais de tout mon être, je met ensuite mes basket et file courir dehors la musique a fond dans mes oreilles.

Des fois je me demande ce qu'il pense en me regardant, peut être pense t'il la même chose que moi, qu'un monstre hideux ne devrait même pas avoir le droit de respirer le même air que lui, de toute façon ils le pensent tous je le sens a leur regards qu'ils me jettent chaque jour.

Après quelque minutes de courses je décide de revenir sur mes pas n'ayant plus la motivation de sortir, surtout qu'avec lui en vacances donc ne pas l'avoir a mes cotés m'enlèvent l'envie de courir.

Je passe ma porte et va directement dans ma chambre sans adresser un mot a ma familles. J'ouvre la porte de ma chambre et la ferme doucement en lançant mon téléphone sur mon lit défaits avant d'aller m'asseoir a mon bureau et regarder les photos que j'avais accrochés sur mon mur.

Je sors une feuille de mon bureau et un stylos de ma trousse en soupirant avant de commencer a écrire plus j'écris plus les larmes coulent sur mon visage, quelques larmes viennent ce poser sur la feuille, je lache le stylo et passe une mains dans mes cheveux avant de tenir mon visage en larmes de cette douleur indescriptible a la poitrine, cette douleur que je hais tant, je tourne la tete vers mon armoirs et me lève pour aller chercher la lame.

LettreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant