Rubi Noir

chapitre I

Le soleil caressa le visage de Kati, elle ouvrit les yeux et les referma ébloui par ces rayons dorés. Elle tourna son regard vers sa pendule, 8h47. Elle voulait être prête à partir pour 9h30, il fallait donc se lever. Ses pieds se posèrent sur le parquet, ce qui lui donna des frissons. Il faisait froid durent les nuits de novembre. Kati avait pour habitude de dormir la fenêtre ouverte, elle aimait se faire réveiller par les oiseaux et le chant du vent dans les arbres. Kati enfila une veste et sortie dans la cour. Ses parents étaient morts dans un accident mystérieux, mais lui avais laissé une bonne somme d'argent sur un compte, elle n'avait jamais utilisé cette somme, elle voulait les garder pour ses études.

Une année, l'orphelinat ne possédait plus assez d'argent pour nourrir tout le petit monde dans celui-ci à cause de non seulement les dons qui étaient peu nombreux, mais aussi l'arrivée de nouveaux enfants. Kati proposa donc ses services, notre jeune orpheline lisait beaucoup de livres ce qui est toujours le cas. Dans un de ceux-ci, elle avait appris à marchander, à faire du commerce, à convaincre les gens et d'autres trucs du même style. Kati avait marchandé avec la gouvernante. Elle avait une semaine pour collecter des fonds qui permettraient à l'orphelinat de survivre en échange, ils payeraient les factures d'électricité et d'eau d'un mini chalet quelle achèterait. La gouvernante avait accepté ne pensant pas quelle allait réussir, pour que le marché soit encore équitable, Kati est chaque année responsable de la collecte de fonds pour l'orphelinat. La jeune orpheline a donc acheté un chalet à la lisière de la forêt et y vit seule depuis 3 ans. Bien sûr, elle doit respecter quelques règles, les mêmes que dans l'orphelinat. La gouvernante vient une fois par semaine vérifier que tout se passe bien. Dans la cour de son habitation, des poules vivent, les ufs quelles donnent sont pour l'orphelinat. Tous les matins, Kati va chercher les oeufs, c'est elle qui s'occupe des 11 poules, ça fait partie du marcher. Donc, comme tous les matins elle sortit dire bonjour aux poules. Il faisait bien froid, elle fut contente de rentrer. Elle alluma un feu dans la cuisinière et mit un oeuf chauffé. La cuisine est une pièce de 4 sur 6 mètres, c'est la seule pièce qui n'est pas en bois, à cause du feu. Elle est composée dune table avec 2 chaises et la cuisine : un frigo, une cuisinière chauffée au bois et quelques étagères remplies de vaisselle et de nourriture. On éclaire la petite pièce par 2 fenêtres décorées par des rideaux violet-turquoise. Kati se servit un verre de jus d'orange et dégusta son omelette. Après son déjeuner, elle monta prendre une douche.

Elle enroula son linge sur son corps et se regarda dans le miroir. Elle se trouvait plutôt belle, ses longs cheveux noirs mettaient bien en valeur sa peau claire, dans son enfance et encore maintenant on l'appelait Blanche-Neige, ça avait toujours été son sur nom. Elle mit ses sous-vêtements et revient devant le miroir pour se coiffer, elle ne se coiffe jamais habiller, les cheveux deviennent électriques si non. Kati s'arrêta et contempla les cicatrices sur son corps. Elle ne sait ni pourquoi ni comment elles étaient arrivées là, mais elles y sont. La première était arrivée l'or de ses 12 ans et petit à petit chaque matin elle se réveillait avec une nouvelle, des grandes, des petites, des longs, des courtes, des fines, des larges

La jeune orpheline sortie de ses pensées et enfila son jeans noir décoloré et son sweat, elle leva les yeux vers la pendule, 9h57, elle était en retard. Kati dévala les escaliers en courent attrapa sa veste, enfila ses chaussures, sorties, verrouilla la porte et fila en direction de l'église. La petite avait pour habitude de se rendre à la messe du dimanche, elle aimait ça. Quand elle y allait, elle se libérait de tout problème et ressortait remplie de paix et de joie, c'est une sensation quelle adorait. Arrivée aux portes de l'église. Essoufflée, elle rentra et s'assit au fond pour écouter le prêtre.