UN RAPPEUR UNE INFLUENCEUSE

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TOUT D'ABORD ON VA SE CONCENTRER SUR CHAIMA ET SAMUEL

 un jour on étais tous caler à la villa y'avais moi Samuel et chaima 

moi(Marlhon) : chaima ta cousine elle est folle

chaima: pourquoi ???

moi: je suis là je me réveille je lui envoie un message elle est là elle me lâche des cool ta life elle crois trop je suis son pd

Chaïma: laisse là ça lui arrive des fois 

moi : non c'est pas des fois c'est tout les jours avec moi

Chaïma: elle est comme sa on peut pas la changer en plus toi tu l'aime pour ce qu'elle est 

moi : oe mais moi j'ai pas signer pour ça 

Chaïma: mdr  ta signer pourquoi alors

Moi: bain j'ai signer pour avoir une femme

Chaïma: mdr la vie c'est pas un film

moi: tu traine trop avec Sonia tu me sors les même phrase "la vie c'est pas un film"

Chaïma: normal c'est ma cousine on est tout le temps ensemble c'est normal

moi: en parlant de cousin je dois aller chercher Samuel tu viens avec moi

Chaïma: non merci

moi: viens sinon tu va rester seul ici

Chaïma: ok allez on y vas

          on est parti chercher mon couz et tout et là on étais dans la voiture

Samuel: wsh

moi: wsh mon sang

Samuel: ça fais longtemps on s'est pas parler depuis la dernière fois chaima tu vas bien ???

chaima: oue

Samuel: sinon la famille sa va

Chaïma: oe

Samuel: je te trouve beaucoup trop calme aujourd'hui

Chaïma : si tu le dis 

Samuel : raconte nous comment tu t'est voilé

Chaïma : c'est une longue histoire

Samuel: justement on a tout le temps

moi: oe raconte

Chaïma: enfaite de bases je suis pas comme sa  avant j'étais quelqu'un qui aimais beaucoup attirer l'attention j'aimais beaucoup sortir plein de choses comme sa et tout à commencer quand j'ai vu des rappels sur l'islam sur tik tok snap de partout il disais oe" le voile c'est obligatoire " mais moi ça m'intéresser pas tant que sa je fessai la prière le ramadan les truc comme sa mais j'étais pas à fond tu vois et un jour j'étais sur Insta et  de partout je voyais des voilée elles étais magnifique j'étais en mode mashaallah  dans ma tête j'allais me voilé un jour  ces sur mais quand j'aurais des enfants genre dans grave longtemps et un jour j'ai eu le déclic je me suis dis en vrai pourquoi pas me voilé j'ai rien à perdre bien au contraire être voilé pour moi c'est pas simplement mettre un tissus sur la tête c'est plus que sa du coup petit à petit j'ai commencer à porter des foulards je me sentais à l'aise je me sentais bien et voilà  je me suis lancé 

moi: mashaallah

Samuel: mashaallah j'espère ma femme aussi auras ta sagesse

chaima: bien sur ta femme a ma sagesse c'est moi 

Samuel: t'es beaucoup trop jeune 

chaima: tu sais l' âge c'est juste un nombre 

Samuel: si tu le dis

moi : tout le monde descend on est arrivé 

Samuel: je suis fatigué

maman(tante): mon fils tu vas bien

Samuel: oui et toi tata

maman: hamdoulilah 

moi: maman

maman : oui 

moi: j'ai faim

maman: tu connais pas la cuisine 

moi: non mais moi je veux quelque choses cuisiner par toi 

maman: d'accord mais c'est la première et dernière fois 

moi: oui

 du coup ma mère elle fessais à manger et c'est pas  je vois Chaïma et Samuel rigoler ensemble

moi: pourquoi vous rigoler ???

Chaïma: rien

moi: oui prenez moi pour un pigeon

Samuel : on te laisse Marlhon nous on vas au resto

moi : comment resto vous mangez pas ici ??

Samuel: je te présente Mme Samuel 

moi: Mme Samuel ???vous jouez à quoi vous deux  🤨🤨🤨🤨🤨

Samuel: tu est invité au mariage 

maman: quelle mariage ??

Samuel: lui de moi et Chaïma

maman : Chaïma et toi ???? 

Samuel: sachez que pendant que vous nous laissez tout seul dans cet villa y'a plein de choses qui ont changer

moi: mais wsh vous vous connaissez depuis 2 jours

Samuel: oui mais tu sais  2 de jours C'est  juste un chiffre

moi: ok c'est officiel vous m'avez perdu 

              tout sa pour vous dire que Sonia ne c'est pas raconter une chronique pendant que Mme  fessais des photos d'elle en maillots de bain Samuel et Chaïma se sont fiancé franchement et en plus moi je peux pas vous raconter ce qui s'est passé entre eux deux sinon la chronique n'auras jamais de fin