𝙦𝙪𝙖𝙩𝙩𝙧𝙤

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𝐑𝐞𝐠𝐢𝐧𝐚 𝐌𝐚𝐧𝐠𝐢𝐧𝐢, août 2016

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𝐑𝐞𝐠𝐢𝐧𝐚 𝐌𝐚𝐧𝐠𝐢𝐧𝐢, août 2016

Paris, France

Je bouclais mes dernières valises pour partir à Las Vegas avec les gars, Giada affalait dans mon lit me regardait faire en caressant mon chat.

Giada : Donc là, j'ai ton appart pour moi toute seule pendant une durée indéterminée puis pendant un mois ?

Moi : Oui, mais c'est pas pour ça que tu dois inviter tout Paname dans mon appartement ! Elle levait les yeux au ciel.

Giada : Oui, oui t'inquiète.

J'avais confiance en ma petite sœur mais elle était imprévisible, j'avais aucune envie qu'une soirée projet x se déroule dans mon appartement. Surtout que je lui laissais mon chat Gaston et mon chien Splash, aucune envie qu'ils soient traumatisé à cause d'ado alcoolisés, je pense que mes soirées avec L'entourage leur avaient suffit.

Giada : Gédéon ! s'écriait-elle en se relevant faisant fuir Gaston qui dormait paisiblement.

Moi : Tu te sens bien ?

Giada : Si j'ai un chien je l'appellerais Gédéon !

Moi : T'as un pète Gigi.

Giada : Ton chat s'appelle Gaston et ton chien Splash donc t'as pas le droit de me juger.

Je levais les yeux ciel, je quittais la pièce pour aller ouvrir à Mikael qui venait d'arriver pour qu'on rejoigne les autres directement à l'aéroport. Je le laissais entrer alors que je retournais directement dans la chambre prendre ma valise.

Plusieurs câlins à Gaston et Splash, un énorme câlin à ma sœur et nous quittions mon appartement pour aller à l'aéroport Charles de Gaule.

(...)

On posait enfin nos pieds en dehors de l'aéroport américain à notre plus grand bonheur, entre toutes les heures d'avion et nos deux heures à attendre toutes nos valises on était à bout. On s'était tous pris une énorme claque par le décalage horaire, certains - dont moi - luttaient pour ne pas dormir debout et ça se voyait à nos corps qui tanquaient.

Hakim : On a intérêt de rester longtemps ici parce que je veux plus voir d'avion pendant un bon moment. Bougonnait-il.

Moi : Mais tu arrêtes de râler trente secondes ? Même à Las Vegas t'es pas content. Il grognait.

On voyageait donc avec un ours.





Ça faisait à peu près deux heures que nous étions arrivés à notre villa, on avait tous choisi nos chambres et on était installés. Je bronzais dans le jardin pendant que tous les gars étaient entrain de se baigner.

On avait tous fait une grosse sieste pour être en forme ce soir, on allait fêter notre première soirée à Las Vegas comme il le fallait.

Le gros corps mouillé de Deen s'affalait sur le transat à côté de moi.

Mikael : Imagine on fini notre soirée en étant marié devant Elvis. Je lui lançais un regard noir.

Moi : Dans tes rêves.

Mikael : Même à Las Vegas je me mari pas avec toi. Quel supplice. Je lui faisais un doigt d'honneur.

Moi : Toi t'aurais une chance incroyable d'être marié à une femme incroyable. Moi par contre... je grimaçais de dégoût.

Mikael : T'es laide c'est un truc de malade.

Moi : Dit-il.

J'hurlais quand je sentais deux bras m'encerclait et mon corps se soulevait du transat, je tapais sur le dos de Mikael pour qu'il me lâche mais il n'avait pas l'air d'accord avec ça.

Je terminais bien évidemment dans la piscine, je finissais par me battre avec Ken qui voulait me noyer.





Mon téléphone annonçait vingt deux heures et quart. Je finissais d'appliquer mon gloss sur mes lèvres, je descendais puis sortait en voyant que les gars m'attendaient déjà sur la plage.

Je marchais au côté de Ken qui avait l'air dans ses pensées.

Moi : T'es à Las Vegas, profite un peu. Il posait son regard sur moi.

Ken : Tu te souviens quand on parlait de ce voyage avec elle ? Je lui souriais tristement.

Moi : Ken, tout ça s'est passé. Tu as fauté, elle est partit refaire sa vie tu dois faire pareil maintenant.

Ken : Elle me manque Regina.

Moi : Je sais. Mais faut que t'oublie tout ça, je pense que c'est ce qu'elle voudrait. Il me regardait longuement. Ok, j'ai dis ça parce que ils le disent dans les films, elle, elle veut juste que tu souffres toute ta vie. Il pouffait de rire.

Ken : Elle doit me maudire du haut de sa montagne.

Moi : Même quand elle était à Paris elle te maudissait.

Ken : Tu remues le couteau dans la plaie là Regi'. Je rigolais.

Moi : Désolée mon petit Nekfenouille. Il haussait un sourcil alors que j'haussais les épaules.















































instagram : @sanka.sb

Vous sentez les bêtises arriver ? Parce que moi, oui🤷🏻‍♀️

Un petit Nekfenouille mélancolique pour cette première soirée🙍🏻‍♀️

désolée encore du retard, j'ai eu un empêchement🌸

𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘁𝗲𝘀 𝗿𝗲̂𝘃𝗲𝘀 ; deen burbigo Où les histoires vivent. Découvrez maintenant