Éveille

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PDV Elizabeth :

A l'instant mème où on m'a dit qu'elle été née, que je pouvais me détendre, j'ai arrété de me battre. Plusieurs déesse m'ont prodigué des sort de soin et dé que je pu à nouveau parlé, j'appela Méliodas, lui demandant de me faire la promesse donc je lui avait parlé il n'y à pas si longtemps.

Il prend ma main et la pose sur sa joue. Mon regard est trouble mais je vois bien que ces yeux son embué.

"Je t'interdit de mourir !" me dit-il finalement.

Je ne peu pas lui répondre, je suis bien trop fatigué. J'ai l'impression de me noyé, comme si je m'enfoncè dans le sommeille comme on ce perd au font d'un lac.

Mais je n'ai pas envie de nagé. Je n'ai plus de raison de me battre. Guenièvre est née et elle va bien, je peu m'endormir et ne jamais me réveillé, elle va bien c'est l'essentielle.

Soudain, une voix apparait dans mon esprits. "Idiote ! Ce n'est pas parce que ta fille est née que tu doit te laissé mourir. Tu doit vivre, pour ceux que tu aime et qui serons dévasté si tu venais à les quittaient."

Il a raison, je suis une idiote ! Je n'ai pas pensé un instant à toute les personne qui seraient triste si je mourais. Mes sœur, Diane, Elaine, Hawk, mais surtout Méliodas et Tristan. Sans conté que Guenièvre ne connaitrait jamais sa mère si je ne me réveillé pas.

Je veux vivre, m'écriais-je intérieurement. Une douce chaleur cotonneuse vint soudain enveloppait mon corps.

Je voulais me réveillé, mais la vois me dit de dormir, que je devait me reposé encore un peu.

Cette voix été celle de Maël. Je l'écouta et lésa mes rêve chassé mes pensé rationnelle.


Je finit par émergé de mes songe et fut heureuse de plongé mon regard dans les magnifique jade de mon mari. Il m'embrasa le front et m'aida à me redressé sur le lit.

Je n'était pas totalement rétablie, mais je voulais vraiment prendre ma fille dans mes bras. Méliodas me rasura sur mon état de santé et celui de notre bébé, puis je me tourna vers notre fils.

" Tristan, je peu prendre Guenièvre moi aussi ?" lui demandais-je en tendant mes bras vers lui. Il y déposa sa petite sœur et s'assit plus confortablement sur le lit, sa tète contre le haut de mon bras.

Les larmes ce mirent à ruisselé sur mes joue, a l'instant mème ou je croisa le regard turquoise de ma jolie petit princesse. Je l'aime tant. Comment une si petite chose peu nous faire repentir tant d'amour. Je m'était posé la mème question à la naissance de Tristan.


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J'espère que ce chapitre vous a plus, n'hésitez pas à laissé un comentaire et à voté. Et désolé pour l'attente.

Une vie de princesseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant