le début, de la fin .

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Ma mère était effondrée, nous aussi, on aurait cru que le quartier était en deuil, les rues étaient si calme, si triste, ma mère déterminée à ramener son mari en vie chez lui,  le chercha partout,  aux infos, le tribunal etc

4 jours plus tard, revoilà enfin mon père, il était pas au mieux de sa forme mais en vie,  c'est l'important,  et c'était pendant l'interview de mon père et ma mère à la maison que je compris toute l'histoire,  l'homme venu ce soir là était le chef des soldats, il se nomme Gbaguezé, il voulait acheté le camion de force à mon père,  car il avait entendu que mon père a fait fortune avec ,alors lui aussi voudrait être comme mon papa,   " riche" puisque mon père ne  voulait pas le lui vendre ,  alors il lui déclara la guerre, il a torturé mon père pendant ses 4 jours, il était défiguré de partout, un bras et 2 côtes cassés. A ce moment là j'avais la rage contre cet homme qui voulait hôté la vie à mon papa chéri, et tout ça juste pour un vulgaire camion qui n'était rien comparé à une vie.

Peu à peu nos vie ont recommencé à s'animées,  c était le bonheur,  jusqu'à ce que mon père commence à faire son passeport en douce avec l aide de ma mère,  et ils ont finalement vendu le camion,  pour payer des frais etc

On a déménagé du quartier Combattant pour le quartier Benz-ville, 4 mois plus tard, mon père commence à faire ses bagages avec ma mère,  puis il fit venir son ami Walter qui emmena ses affaires chez lui, enfin de les hébergés pendant 3 jours,  tout ça juste pour ne pas nous inquiétés et qu on puissent le dire à personne, mes soeurs et moi. 3 jours plus tard Walter viens chercher mon père et ma mère,  moi je croyais qu'ils étaient parties faire la fête ou autre chose,  mais  jamais imaginé que mon père ne reviendrai plus à la maison. La vie de mon père était toujours menacée par Gbaguezé,  alors il a dût partir sans même nous enlacés dans ses bras, 2 jours après son départ pour la France,  mes soeurs et moi commencions à nous inquiétés,  car il était plus à la maison,  mais ma mère nous trouvait tout le temps des excuses sur son absence,  puis un soir elle nous réunit,  et nous avoua la vérité et on se mit à pleurer, mais on a continué à prier pour lui,  et q' un jour on puisse enfin nous retrouver.

                                

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