Une sorte d'album de nombreux concepts de films, dans l'optique de tous les avoir répertoriés sur Internet d'une manière explicite.
Dans l'idée, c'est une façon de mettre sous forme de copyright beaucoup des concepts que j'ai pu déjà établir, afin d...
*Note Une version courte de Plastic Love a déjà vu le jour en 2021, mais n'est jamais sortie publiquement.
Plastic Love est un moyen métrage d'environs 30 minutes narrant l'histoire de "Moi", un garçon très romantique, mais tout à fait pathétique, tombant amoureux d'une violente tueuse en série malgré lui. La tueuse, "Elle", a une télé sur la tête, de sorte à permettre aux spectateurs d'imaginer la fille parfaite de leurs rêves. "Je" habite chez ses parents, et va au lycée régulièrement. Il ne s'intéresse point aux cours de toutes sortes; il préfère donner ses journées à la procrastination et à l'idée qu'un jour il serait quelqu'un de connu et de populaire. Son père est représenté par une littéral statue grecque, à laquelle est accrochée un lecteur de cassette style walkman, répétant en boucle les mêmes phrases viriles. Sa mère n'est qu'une main sortant éventuellement de portes, n'intervenant en rien dans l'histoire. "Moi" rencontrera "Elle" à son arrivée au lycée, le comique se jouera sur le fait que tous complimentent son visage mais que nous nous pouvons pas l'observer. Ses camarades de classes sont tous représentés avec des aliments à la place des visages, pour montrer le désinteret total que "Moi" a pour eux. "Moi" sortira trois fois avec "Elle", une fois dans un parc, une fois dans la laverie que tiens ses parents (?) (où l'on comprends que des cadavres sont dans les machines à laver), et une troisième fois chez elle, où un ce que "Moi" prenait pour une invitation à un ébat sexuel se révèle être une excitation liée au meurtre pour "Elle" "Moi" mourra finalement dehors, dans une décharge abandonnée, complètement coupé en morceaux, mais mourra en disant qu'il s'agissait de la meilleure sensation qu'il n'avait jamais ressenti. Nous suivons toutes les pensées de "Moi" en continue, rythmant l'histoire.
L'esthétique fait très pastel et est extrêmement influencée par les animés des années 80.
Prototype de la télé (fonctionelle!):
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Quelques images du film:
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