Amie de pensée

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A toi ma partenaire d'idée

Ce poème, je te le dédie.


Ma beauté en fauteuils, en canne,

Tu sais la peur de perdre tes pieds

Et de te sentir diminuée,

Humiliée, affaiblie... Ricanne !

Oui, rigole de ces pauvres gens,

Qui, du matin jusqu'au soir passant,

Se foute de toi pour leur argent !

Soit toi-même, c'est assez pesant...


Surtout, n'écoutes plus leurs mensonges

Qui sont trop bien encrés en ta chair,

Car tu es trop belle, ma très chère,

Tellement, que je te vois en songes.


Meian Raita

En vers libre, et contre tousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant