Chapitre 32/Tome 2 : Toujours par deux

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Katniss couru vers moi.
Des larmes roulaient sur ses joues, ses yeux étaient rouges et je compris qu'elle avait tout vue.

Depuis le début, nos familles regardaient ce qu'il se passait, assistant donc à la mort de ma petite sœur.

Cette courageuse petite fille, que je n'ai pas suffisamment connu mais que k'aimais de tout mon cœur.

Les autres nous regardaient silencieusement.

-Tu as fais ce que tu pouvais. N'en doute pas. Je t'aime fort Hermione.

Ses mots me firent du bien, et enlevèrent un poids de mes épaules. Je me rendis alors compte que je craignais la réaction de ma jumelle. La peur de la perdre elle aussi m'avait terrifier.

-Je t'aime aussi Katniss.

Une fois que nous nous fumes separé, nous embrassades tout le monde et lorsque je vis ma mère avec mon fils dans les bras, je courus vers eux et le prit dans mes bras, ayant besoin de cet enfant dans mes bras.
Ayant besoin de voir que si j'étais en vie, c'était pour une raison bien précise.

-Mon petit cœur... Mon petit cœur d'amour...

Je ne remarquais pas le sourire bien veillant que mon mari portait sur nous,pour moi, a cet instant, seul comptait le fait de serrer mon fils dans mes bras.

-Baba ! Blabump ! S'écria-t-il joyeusement.

Fred s'approcha de nous et caressa la petite tête à peine chevelus de notre fils.

Hugo tourna la tête vers lui en tendant ses petits bras et dit un petit mot de quatre lettre qui fit fondre mon cœur.

"Papa"

Je remarquais que Fred se retenait de pleurer, face à ses mots, lorsqu'il me regarda.

Il prit Hugo dans ses bras et je me rajoutait a l'étreinte.

Ce moment fut encore plus magique lorsque pour la toute première fois, je sentis le bébé bouger dans mon ventre.

Fred, a qui j'étais collé, ne sentis rien. Mais ça n'avait pas d'importance, ce moment était entre le bébé et moi, un tout petit geste qui me liais encore plus à lui.

Ils sont ma raison de vivre.

Ils sont ma famille.

Quelques mois plus tard...

Ce fut les pleures de Hugo qui me sortirent de mon sommeil dans lequel j'étais pourtant di bien.

-Laisse j'y vais... Marmona Fred.

-Non non. Cette fois c'est mon tour.

Je lui souris, alors que pas le moins du monde embêter il referma les yeux et se rendormi.

Je me dirigeais donc vers la chambre de mon fils qui cria un "mama" sanglots en me voyant.

Je le pris maladroitement dans mes bras, sentant mon dos tirer face a cette effort.

-Eh bah alors mon cœur, qu'est ce qui t'arrive ? Tu as fais un vilain cauchemard ?

Il hocha la tête et ses pleures finirent par s'arrêter.

Je m'étais assise sur une chaise a bascule et m'en servais pour le bercer.

-C'est rien mon chéri, ce n'était pas vrai, tout est fini maintenant.

Il hocha encore une fois la tête et posa sa tête sur mon epaule fatigué.

Il mit très peu de temps a se rendormir. Et lorsque je me levais pour le rellonger dans son berceau je fus arrêté par un gros pincement dans mon ventre qui me fit pouvez un gémissement de douleur mais qui bien heureusement, ne réveilla pas Hugo.

Je le déposait donc dans son berceau le plus rapidement possible mais en même temps le plus doucement possible. Et retournais dans notre chambre à Fred et moi.

-Fred ?... Appellais-je doucement.

Il bougea mais ne se réveilla pas. Je répétais une nouvelle fois son nom en le secouant mais il refusa de se réveiller me lançant un "Tu as voulu t'en occuper maintenant tu te debrouille"avant de fermer les yeux.

-Fred il... AÏE !...

Il se relevant rapidement se demandant se qu 'il m'arrivait. Je n'eu pas besoin de lui expliquer.

Ce fut lui qui prit les choses en charges et je lui en fut reconnaissant.

***

Mes yeux commençaient doucement à se fermer. La fatigue de l'effort.

Cela faisait bien 8 heures que le travail avait commencer et 1 heure que je poussais de toutes mes forces pour que, pas mon, mais mes bébés sortent.

En effet, après divers rendez-vous chez le médecin, il c'était en fait révélé que j'attendais des jumeaux.

Pas du tout étonnant en réalité, puisque j'avais une jumelle et mon mari lui, avait un jumeau.

-J'en peux plus...

-Vous y êtes presque madame. Un dernier petit effort et vous aurez deux petits bébés dans vos bras.

Je hochais la tête et repris la main de mon mari dans la mienne. Celui-ci avait  un grand sourire aux lèvres et il ne l'avait pas quitter depuis que nous étions arrive a Saint-Mangouste.

Il avait bien évidemment prévenu tous les Weasley, Granger, ainsi qu'Harry. Et j'étais presque persuadé qu'en ce moment même ils étaient tous dans la salle d'attente.

Obeissant au médicomage, je poussais une fois. Deux fois, trois fois.

La quatrième fois un cri de bébé résonna dans la piece, mais je n'eu pas le temps de demander si c'était une fille ou un garçon qu'une autre contraction se fit ressentir.

-Bordel de dieu ! Criais-je.

Les médicinales présents me regardèrent la bouche grande ouverte, choqué de mes mots, mais je décidais que j'avais été assez sage jusqu'à maintenant.

-Vous allez arrêtez de me regarder comme un Merlin frit et vous allez prendre ce deuxième bébé parce que je jure que si vous le faite tomber terre je vous explose la tranche ! Compris !?

Aucuns d'entre eux ne me répondit, mais ils se retirent tous au travail alors que je poussais. Je vis du coin de l'œil le bébé arrivé dans les bras de Fred.

Mais bientot, le deuxième arriva dans un autre cri.

-Ce sont deux filles ! S'exclama un des médicomage, en posant ce deuxième bébé sur la poitrine.

-Deux filles. Répétais-je en souriant mais en larme.

J'échangrais un regard avec mon mari, plus heureuse que jamais.
Nous avions deux fille.

Nous échangeables un baiser, heureux qu'en fin, nous soyons en entier.

-Comment vous allez les appelez ? Nous demanda un des médecins.

-Charlotte et Rose. Nous dimes ensembles.

Bienvenu sur terre mes filles chéries.

Hermione EverdeenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant