chapter ten

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chapter ten

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chapter ten

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Pour la première fois de sa vie, Bailey avait fait tout ce qui était en son possible pour passer du temps avec sa meilleure amie. Les remords de son mensonge la rongeaient de l'intérieur et elle n'osait même plus regarder Michael dans les yeux sans s'en vouloir. La blonde était tiraillée par ses sentiments, qui semblaient tous vouloir prendre le contrôle de la situation. Sa raison lui hurlait d'abandonner cette presque-relation avec le garçon.

Apres tout, Azrael comptait bien plus dans le coeur de Bailey, que Michael. Mais, son désir de régner, diriger, briller était grand. Très grand. Et c'est seulement lorsqu'elle observait le bouclé diriger l'école comme ses sous-fifres, qu'elle mourrait d'envie de devenir sa reine pour, enfin, diriger. Etre à la place qu'elle méritait, la place où elle aurait du être dès le début.

Sa place.


  — « le mélange de la mandragore et du raisin de bourgons ne s'incorpore pas dans...


Azrael soupire bruyamment, claquant son manuel de potion contre le bois du bureau en un bruit sourd. Bailey sursaute, arrêtant soudainement de regarder ses ongles. La brunette avait les nerfs à vif. Comment pouvait-elle se concentrer sur sa récitation si sa meilleure amie, qui était censée l'aider, ne l'écoutait même pas?

— concentre toi, bailey.

— ça fait déjà une heure qu'on est sur les potions, aza! geint alors la blondinette, on ne peut pas aller faire un tour?

À vrai dire, elles ne s'étaient cloîtrées dans la chambre que depuis vingt cinq ridicules minutes. Mais bailey n'avait jamais apprécié travailler, et encore moins lorsqu'il s'agissait d'une préparation aux examens. Cette années, les B.U.S.E.S allaient être décisives pour leur options. La cinquième année n'était pas particulièrement stressantes, mais les examens préparatoires de novembre rendaient tout les élèves à crans.

  — non! si tu veux devenir assistante médicinale plantaire, il faut travailler!

Azrael n'avait jamais été passionnée par ses études, mais son souhait de faire quelque chose qui lui plaisait était plus fort, plus important, que la flemmardise qui soufflait contre ses tempes. Alors, depuis toujours, elle travaillait comme si sa fin était proche.

Bailey soupire encore une fois, comme toujours.

  — je vais faire un tour dans les cuisines pour me prendre un verre d'eau, indique alors murphy, je reviens dans quelques minutes.

𝐏𝐎𝐈𝐒𝐎𝐍,  théodore nottWhere stories live. Discover now