la guitare endiablée

27

En rentrant je me sentais perdu, je jette mes clés sur la
table de la cuisine et sors une bière du réfrigérateur, je m’assois un moment sur le fauteuil du salon et je me remémore la scène qui, s’est dérouler un peu plus tôt, comment est ce que j’avais pu passer à côté de leurs trahison ?   Je me sentais tellement humilié mais il était hors de question que je me laisse abattre, je n’avais pas le droit de baisser les bras pour mes enfants. Je me leva en embarquant ma bière avec moi et je me décida à faire une tri nocturne, tout ce qui lui appartenait voler dans le couloir, vêtements et objets s’entasser près de la porte d’entrée, je retira également les photos de lui sur le mur j’y passa deux bonnes heures quand je me souvint que j’avais demander à Jérôme qu’on ai une discussion
- Merde ! 
Je couru dans la cuisine mais pas de téléphone, dans le salon non plus, j’avais du l’oublier dans la voiture en sortant tout à l’heure je repris mes clés et comme tout le bordel de Florian me gêner, j’attraper tout ce que je pouvais et sortis les bras charger, avant d’aller récupérer mon téléphone, je partis tout déposer au pieds de la benne de récolte pour un relais de seconde main, je n’avais plus envie de voir tout ça, j’avais juste mis dans une boîte à chaussures les photos, pour les donner à mes enfants quand ils seraient plus grands…
Je pris mon téléphone qui avait glisser sous le siège conducteur et rentra, j’avais de nombreux appels manqué de Jérôme, Florian et Jenny, quel culot de m’appeler après ce qu’ils ont fait, sans attendre j’appelais Jérôme
- Ahhhh enfin tu me rappelle !  Je me suis inquiéter ! Ou étais tu passé ? 
- Ça va, ne t’inquiète pas j’ai juste eu beaucoup de boulot
- Hein ?!  Qu’est ce que tu raconte ? 
- J’ai quitté Florian et après je me suis rendu compte qu’il me trompé depuis des mois avec ma meilleure amie, je les ai pris en flag et en rentrant je ne voulais plus voir ces affaires chez moi alors j’ai tout viré !
- Wahou !  Tu es sérieuse ? 
- Oui oui, je ne perds pas de temps avec les parasites
- C’est une histoire de dingue mais je suis satisfait
- Satisfait de ? 
- Et bien au moins je sais qu’il ne se passera plus rien entre lui et toi
- Jérôme !  Il ne se passait déjà plus rien…
- Je sais mais je n’y peux rien, tu es loin et je ne peux pas avoir un œil sur toi alors je…  je panique
- Et depuis quand on panique pour ces amis ?  Je te trouve bien possessif
- Joyce…  il faut qu’on se voit rapidement
- Heu…  pourquoi ?  Quelque chose ne va pas ?  
- Non, non tout va bien mais justement c’est pour ça qu’il faut qu’on se voit
- Je ne comprends pas
- Écoute, je te l’ai dit, je te veux, je veux que tu sois à moi mais c’est trop complexe de parler de ça au téléphone
- Mhhh je vois, écoute cette semaine les enfants ne sont pas là je peux venir demain si tu veux
- Oui je veux que tu vienne demain mais tu reste avec moi
- Je peux rester le temps de récupérer les enfants
- C’est tout ce que je te demande pour l’instant
- Alors on fait comme ça
- Je te laisse finir de viré les affaires de cet abrutis mais après couche toi ! 
- Heu…  pourquoi ? 
- Ne pose pas de question, couche toi !  Tu auras besoins d’être totalement reposer demain
- D’accord…  je te trouve bizarre tout d’un coup
- Fais moi confiance, jamais je ne te ferais de mal, si je te dis ça c’est pour une bonne raison mais tu le découvrira demain.
- D’accord alors je me couche des que j’ai terminé
- Merci ma petite metalleuse, je t’embrasse
- Je t’embrasse aussi lui répondis-je avant de raccrocher.
Je termina de jeter ce qui appartenait à Florian et partis me coucher, j’étais complètement claqué, mes yeux me brûlait, je posa ma tête sur mon oreiller et parti au pays des songes.

J’ouvre un œil, il est 10h30, je m’étire et mes épaules craquent, je me lève et bizarrement je suis sereine, je ne suis pas en colère, ni déçu je ne ressent rien, je m’étonne moi-même d’être de si bonne humeur mais pas le temps de ressasser le temps de prendre une douche je fais couler le café, en sortant il est prêt je me sers une tasse et file dans ma chambre, je prépare quelques affaires et enfile une robe noire à clou des collant et ma paire de démonia à plate-forme je frôle les 2 mètres de haut mais j’aime tellement être perché sur mes plates forme, je ne peux m’empêcher de les mettre.

Je prends le temps d’appeler mes enfants, sans leurs dire que papa n’est plus la je ne veux pas que leurs vacances sois gâché par des histoires d’adultes et je ne veux pas inquiété mes parents alors je le garde pour moi. Ils sont heureux et profite de l’air de la montagne alors c’est tout ce dont j’ai besoins pour tenir même si la guérison va être rapide, je ne pourrais plus donner ma confiance aussi facilement que dans le passé.