Hehe salut tout le monde ça faisait longtemps 😅
J'espère que vous allez tous très bien !
Perso ça fait près de 1 mois que je suis malade d'où ma longue absence, d'ailleurs je m'en excuse.Pendant tout ce temps j'ai commencé à écrire une autre fanfiction elle aussi sur notre Zoldyck préféré.
Pourquoi ne pas m'être occupé de cette fanfiction en priorité me demanderez vous.
Et bien la réponse est plutôt simple enfait ! Comme vous pourrez le constater mon style d'écriture a beaucoup changer et elle ne colle plus du tout avec mon ancien style.De plus j'ai récemment tout relus et oh mon dieu j'avoue que à plein de moment j'ai baissé les yeux en rigolant. En plus de ça beaucoup de passage ne correspondait pas du tout à la personnalité de Killua.
Néanmoins je suis très fière de cette histoire parce qu'elle représente mes débuts, que j'y attache beaucoup de souvenir et que grâce à elle j'ai fait de magnifiques rencontres. Même si je dois bien avouer qu'elle est quand même bien clichée à lire mdr.
⚠️IMPORTANT ⚠️
Donc je vous propose ce nouveau chapitre qui sera assez court (malgré que je déteste en faire des courts d'ordinaire (pls imene me tue pas 😃) ) pour que vous voyez par vous même si mon nouveau style convient toujours à cette histoire et si vous désirez que je continue ainsi ou que je poste l'autre, que j'ai écrit intégralement comme ça, et donc abandonné celle ci.
(J'ai essayé de garder la même relation entre t/p et Killua)
Voilà voilà c'était ma p'tite apparition je vous retrouve en commentaire pour que vous me disiez kiss kiss.
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PDV T/P
Une odeur désagréable de brûler me vint aux narines, mes yeux papillonnaient et ma vision demeurait trouble.
Ma tête était sur le sol et des brindilles ainsi que des cendres incandescentes se collaient à ma joue et dans mes cheveux argenté.Une toux violente me prit et je me releva sur mes genoux tant bien que mal, le paysage tournait autour de moi et un bruit sourd résonnait.
Je me tenais le crâne, me massant les tempes en essayant de rassembler mes esprits.
Juste à côté de moi Killua semblait toujours évanoui et du sang séché ornait sa chevelure blanche.Alors que j'analysai l'endroit dans le lequel nous nous trouvions, je vis un ciel ambré qui abritait un château sombre quasiment en ruine. Des chauves souris volaient autour du fort, sur les minuscules endroits où apparaissait de l'herbe elle était jaunit et calcinée, le reste était couvert de terre sèche et dure. Une forêt sombre avec une aura de meurtre se dressait tout autour de la bâtisse sur plusieurs kilomètres. Le mélange de braise et de cendre et l'odeur du sang coagulé dans l'air rendait la respiration compliquée et désagréable.
Ce site pourrait être comparable à mon royaume d'origine même si il semblait bien plus abandonné et moins sinistre.
Je me secoua la tête et utilisa mes pouvoirs pour nous soigner, moi et l'albinos.
Ses yeux s'ouvrirent de manière automatique laissant ses pupilles bleutées visibles. Nous nous toisâmes un moment avant que je ne viennes briser le silence.« _ Je crois bien que notre plan va devoir être mis en place plus tôt que prévu.
Killua - On est au royaume des vampires ?
_ Perspicace, mais malheureusement ici on est en désavantage en plus je ne sais pas du tout combien de temps on est resté évanoui.
Killua - T'as pas ton portable ?
_ Non je l'ai lancé à Alluka avant que nous tombions dans l'espèce de portail. Ugh- on est vraiment mal Killu. Et toi t'as pas le tien ?
Killua - Non il était dans l'un des sacs à dos.
_ soupire
Killua - Résumons la situation, on est en terrain inconnu, on a perdu nos portables, on ne sait pas quelle heure il est ni quelle jour.
_ N'oublie pas que selon les royaumes, le temps se déroulent de manière différente.
Killua - Tu sais pour ici ?
_ Non, je ne suis venue ici que rarement et Himiko et moi n'en parlons jamais comme ça lui rappelle le massacre.
Killua - Dis .. tu sais que j'aime beaucoup Himiko et que vous avez un lien très spécial mais je ne peux pas m'empêcher de penser qu-
_ Killua je te l'interdis, c'est impossible qu'elle soit derrière tout ça.
Killua - Comment est-ce que tu peux en être aussi sûre ? Tu as trop confiance en elle, elle va nous mettre un couteau dans le dos c'est évident.
_ Il y a une raison bien précise pour laquelle il est impossible qu'elle ait pu faire quoi que ce soit.
Killua - Ah oui et laquelle ? »
Alors que je m'apprêtait à répondre, nous entendons des pas arriver dans notre direction.
« Voix - J'ai entendu du bruit pas là bas.
Voix 2 - Il faut qu'on se dépêche de trouver les intrus avant qu'ils ne se réveillent.
Voix - Traverser une faille dimensionnelle aspire toute l'énergie alors croit moi, princesse des enfers ou pas elle et son sac de viande vont rester dans les vapes encore un moment.
Voix 2 - Quoi qu'il en soit le temps presse, la patience de notre princesse n'est pas éternel, loin de là et je tiens un minimum à la vie !
Voix - Dis moi, tu crois qu'on nous en voudra si on croque dans l'humain, dit il avec de la salive sur le coin de sa bouche hideuse
Voix 2 - Je n'ai pas mangé de chair humaine depuis longtemps mais mieux vaut attendre que la mission soit fini, elle nous a promis des tonnes d'humain si on faisait correctement notre travail »
Les bruits de pas se rapprochaient de plus en plus, nous glaçant le sang. Killua se risqua à jeter un coup d'œil, je vis son corps se figer alors je regarda à mon tour. Deux énormes êtres à l'apparence humanoïde discutaient entre eux. Leurs corps étaient minces et très grands et leurs membres extrêmement longs et osseux, leur visages ne comportaient ni yeux, ni cheveux, ni oreilles. Ils étaient tous simplement terrifiant.
Il nous fallu quelques secondes pour qu'on se jette dans la sinistre forêt afin de leur échapper, nous courions aussi vite que nous le pouvions avant de se stopper devant un arbre aux feuilles noirs. La lumière ne passait quasiment pas à travers le feuillage épais et les espèces de lianes, nous laissant dans une pénombre angoissante.
Une marre avec un liquide ténébreux s'étendait à coter de nous, des bulles éclataient à la surface laissant une vapeur violette nauséabonde se disperser.
Je leva mon pull et le mis sur mon nez, l'albinos m'imita tandis que nous reprenions nos souffles. Nous semblions épuisé alors que nous n'avions pas couru plus que quelques minutes.