𝘚𝘈𝘕𝘚 𝘏𝘈𝘐𝘕𝘌 𝘑𝘌 𝘕'𝘈𝘐 𝘗𝘈𝘚 𝘚𝘜 𝘍𝘈𝘐𝘙𝘌

~Chapitre 1~

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1  semaine plus tard

Je me lève sous les vibrations de mon réveil qui ne cessait de vibrer. Voilà 1 semaine que j'ai déménagé définitivement, j'aimerais vous parler de l'endroit dans lequel je vis, le décrire mais pour être honnête la seule fois où je suis sorti de chez moi c'était pour faire le trajet de mon nouveau lycée à chez moi et réussir à mémoriser le trajet. Mon frère, lui, a déjà beaucoup sympathisé avec le voisin d'en dessous. Il va même souvent chez lui de ce que j'ai cru comprendre de ses va et viens entre la maison et dehors.

Enfin, bref, trêve de bavardage j'ai une rentrée qui m'attend aujourd'hui. Tout le monde dort à la maison alors je marche a pas de loup, histoire de ne pas me faire remarqué. Je rentre dans la douche et laisse couler l'eau froide sur mon corps encore endormi. Au contact de l'eau ma peaux se met à frissonner du a la température. J'ai toujours préféré l'eau froide. Eh oui, je fait parti de ces rare personne qui se brûle la peau non pas a l'eau chaude mais a l'eau froide. Mais la n'ai pas le sujet,  je me dépêche pour éviter d'être en retard. Déjà que je suis nouvelle, je ne vais pas me faire remarqué.

Je finit par sortir et enfiler un jean, bleu foncé, légèrement large, qui tombe au niveaux de mes chevilles avec cardigan court, bleue ciel. J'ai passé dix ans à créer cette simple tenue pour ne pas donner l'impression d' « en faire trop » ou « pas assez », sachant que pour moi - éternel « je m'enfoutiste » - c'est beaucoup trop mais tant pis. Après avoir fini de me coiffer d'une queue de cheval mi-long a l'aide d'extensions, j'ai pris mes AirPods, mon sac et je suis définitivement parti.

[...]

Me voila devant un lycée bondé de jeune de mon âge entrain de se bousculer les un les autres pour découvrir quelle genre de classe les attends cette année. A vrais dire je  assez perdu, je suis le mouvement. J'ai fini par enfin trouver mon prénom, j'ai préféré ne pas jeter un coup d'œil à la liste dans laquelle j'étais, je préfère avoir le bénéfice du doute et quand bien même je l'a lis, je ne connais personne.

Après que tout le monde ai commencé à se disperser pour rejoindre leurs classe je commence à faire de même. J'étais assez perdu je dois l'avouer mais avec mon sens de la déduction hors paire il ne m'a pas fallu longtemps pour trouver ma salle. Arrivé devant la salle, je remarque que tout le monde était déjà rentré. OH NAN ! Me dites pas que je vais devoir subir ce moment de gêne digne d'un film. Je respire un bon coup pour éviter de laisser l'angoisse et la peur s'empare de moi. Je fini par enfin rentrer dans la classe mais à ma grande surprise personne m'a calculé, il était tous occupé à chahuter. Je me suis alors simplement posé dans le fond de la classes.

... - Je peux m'asseoir la ?

- Euh... Ouais.

J'ai levé la tête pour découvrir une fille qui avait l'air au premièreles abord maghrébine, elle avait un visage tout rond et des trait d'une finesse incroyable qui crée un contraste magnifique. Elle était toute souriante et lumineuse comme si le simple fait de sa présence apporte de la lumière. Pour être honnête je n'avais jamais rencontré quelqu'un avec autant de charme qu'elle...

... - Moi c'est Sabrina, et toi ? M'interroge la jeune fille en souriant.

- Rokhaya . Je répond en lui rendant son sourire

Sabrina - J'aime bien. T'es nouvelle ? On a la même classe depuis la seconde et c'est la première fois que je te vois.