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« On va se faire niquer par le patron. » Souffla Chifuyu.
« Oui. » Acquiesça Yn.
Chifuyu se relèva et commença à se rhabiller alors que Yn ne bougea pas d'un centimètre.
« Désolé, j'avais dis que j'irai doucement mais je me suis pas maîtriser. » S'excusa Chifuyu en reboutonant sa chemise.
« C'est rien t'inquiète. » Répondit-elle en attrapant ses vêtements pour se rhabiller.
Les deux rhabillèrent et Yn quitta le bureau de Chifuyu en boitant malheureusement. Cette baise avait tellement intense que ses hanches témoignaient en la faisant boiter.
Elle finit par arriver à son bureau et posa le carton, qui cette fois lui appartenait, puis elle s'assit sur son fauteuil.
Je...je l'ai vraiment fait avec Chifuyu...bordel on est que collègues de travail. Pourquoi on a fait ça ? Réfléchissa-t-elle un long moment.
Soudain, la porte de son bureau s'ouvrit laissant un de ses collègues entrée.
« Yn, le patron veut te voir. » Lui disait simplement l'homme avant de repartir.
Elle ravala sa salive en sachant peut-être pourquoi il voulait la voir. Elle se leva et alla en direction de la salle de son boss.
En arrivant, elle toqua tout en tremblant de peur du à ce qu'il allait lui parler. Un « entrée » se fit entendre et la jeune femme entra toute stresser.
« Rebonjour Yn, on se voit souvent ces derniers jours. » Lui disait son patron qui était tourner vers la fenêtre.
« Euh oui je suppose, vous voulez me voir pourquoi ? » Demanda-t-elle poliment.
« J'aimerai faire un debrief de votre travail si vous le voulez bien, je vous propose Samedi soir dans ce restaurant. » Répondit-il en lui montrant le restaurant sur l'écran.
Il s'agissait d'un restaurant de luxe qui avait 4 étoiles à son actif. La jeune femme fut rassuré que ce n'était pas à propos de ce qu'il s'est passé avec Chifuyu. Elle accepta puis elle repartit à ses occupations.
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On était le fameux Samedi et Yn s'était préparé d'une façon assez chic vu dans le restaurant où ils allaient. La sonnette de son appart retentissa et elle alla voir de qu'il s'agit. Elle ouvrit la porte et tomba nez à nez à Chifuyu.
« Chifuyu ? Qu'est-ce qu'il t'amène ? » Demanda-t-elle en rougissant légèrement.
Les récents événements étaient toujours dans sa tête et cela était un peu gênant quand elle le revoyait. Chifuyu posa ses mains sur ses épaules et fit rentrer sa collègue dans son appartement avant de refermer.
« Ne vas pas à se rendez-vous avec le patron. » Avait-il dit dans une inquiétude plus que présente.
« Hein ? Mais pourquoi ? Je dois y aller sinon je vais me faire engueuler. » Répondit-elle en commençant à s'habiller pour partir.
« Non, écoute-moi, il faut pas que tu y ailles, fais-moi confiance, je le sens pas. » Rajouta Chifuyu.
« Chifuyu mais qu'est-ce que tu me fais ? Il faut que j'y aille c'est par rapport au travail. » Disait-elle étonné par son comportement.
« D'accord mais s'il y a quoique ce soit, tu m'appelles. »
Yn ne comprenait pas la réaction de ce dernier. Pourquoi fallait-elle qu'elle fasse cela alors qu'elle sera juste avec son patron ? Malgré ce qu'elle avait fait avec Chifuyu, ils restèrent des amis avant tout.
« Oui je le ferai ne t'inquiète pas. » Répondit-elle pour le rassurer.
Chifuyu sourit timidement avant de partir sur le palier de l'étage. Elle sortit prête et ferma son appartement à clef sous le regard inquiet du brun.
« Tu le feras vraiment, hein ? On est amis alors fais-le s'il te plaît. » Disait-il pour être sûr.
« Sexfriends si tu veux aussi. » Chuchota Yn dans l'oreille de ce dernier.
« Ton rendez-vous est dans combien de temps ? » Demanda-t-il avec de légères rougeurs aux pommettes.
Elle regarda l'heure son téléphone et répondit dans une heure et demie. Chifuyu chopa les clefs de Yn avant de partir avec. La jeune femme surprise suivit le garçon qui, arrivée en bas, était montée dans sa voiture. Yn monta par le côté passager et referma par réflexe la porte. Le brun verrouilla les portes et regarda son amie avec un léger sourire.
« Chifuyu c'est pas drôle. »
« Je te laisserai partir à une seule condition. » Disait-il en souriant.
Il vit qu'il avait l'attention de sa collègue puis il se rapprocha d'elle.
« Suce-moi. »
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