𝑳𝒆𝒚𝒂.

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‎السٌَلامُ عَلَيْكُمْ (Salam aleykoum)

Moi : hein oui trésor

Sofiane : tu fais quoi avec tonton ?

Moi : rien il avait quelque choses dans l'œil je lui ait enlever

Sofiane : papa est revenu et il veut que tu vienne  dans le salon il as quelqu'un a te présenter

Moi : ah bon c'est qui ?

Sofiane : une dame elle est trop belle

Moi : j'arrive

Tahir : on n'en parleras plus tard vas-y

Moi : hum

Tahir : eh

Moi : oui ?

Tahir : t'es lèvres sont délicieuses

Moi : mdrr~

Je sors de la cuisine puis voit ma belle famille ainsi que Omar et une femme

Belle maman : Leya alors tu as bien profité j'espère

Omar : maman !!

Belle mère : mdrr~ quoiii je peux lui annoncer s'il te plaît je...

Omar : c'est moi qui le feras

Moi : me dire quoi

Omar : Leya voici Amatullah ma deuxième femme

Omar : ta co-épouse

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Je n'arrive pas a dormir comment as t'il pu me faire ça

Après qu'il m'ait annoncé la nouvelle ma belle famille à commencer à chanter et danser

j'ai regardé cette fille dans les yeux elle avait un grand sourire sur son visage mais dès que nos regard se sont croisé elle as baissé les yeux et son sourire a disparu

les larmes au yeux je suis monté dans ma chambre j'y ai pleuré tout la journée sofiane ne comprenais pas ce qui passait et a refusé d'aller vers son père

Amatullah : Leya ?

Leya : oui

Amatullah : tu ne dors pas ?

Leya : sa se voit pas

Amatullah : désolé c'était une question bête

Leya : tu veux du thé ?

Amatullah : -s'assoit- oui s'il te plaît Je suis désolé Leya d'être apparue comme sa belle maman m'as dit que tu était d'accord et que tu t'en fichais

Leya : elle ne m'as jamais mis au courant et l'autre aussi d'ailleurs

amatullah : désole leya mais tu dois parler avec respect de notre mari

leya : il est le tient ce n'est plus le mien

amatullah : l'amour que porte omar pour toi n'as pas change tu sais

leya : il ne m'aime pas et m'as jamais aimer lui et toute sa famille je suis la parce que  je n'ai plus rien et Sofiane me lie a cette homme si ce ne serait pas sa tu m'aurais jamais rencontré

amatullah : oui mais...

leya : ferme la tu m'énerve

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