| 𝐃𝐫𝐨𝐠𝐮𝐞 𝐬𝐢𝐝𝐞~| 𝘤𝘢𝘳𝘭 𝘨𝘢𝘭𝘭𝘢𝘨𝘩𝘦𝘳

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Elle mis sa valise dans le coffre de la belle voiture.

le chauffeur demarra.

Direction ma nouvelle maison.

je soupira a l'arriere.

J'etais luciana...luciana Benzani.

la fille du chef du cartel Americain.

Descendante d'une famille mafieuse Italienne implantée au Etat Unis.

J'etais a present en direction de ma nouvelle maison a chicago et pas n'importe où, en plein quartier sud.

la voiture roula un moment, je ne pu même pas dire combien de temps.

Mais d'un seul coup le paysage changea radicalement.

les maison etait asser petite et delabré, on voyait des poubelles un peu partout.

en voyant ça par ma fenetre je souris.

j'aimais bien ce genre d'endroit.

des lieux sans foi ni loi.

Alors que l'on passait dans le quartier un homme se jetta sur la route visiblement bourré.

le chauffeur s'arreta net et se mis a lui crier des injures alors que l'homme etait assis au sol.

moi: Bastien.

chauffeur: oui madame?

moi: laisse moi descedre la et va garrer la voiture dans la cour.

chauffeur: hein mais-

moi: je commande, va garrer la voiture.

chauffeur: tres bien madame.

je sortis de la voiture et m'avança vers l'homme au sol.

Bastien partit avec la voiture.

je m'arreta face a l'ivrogne et plaça mon pied sur son torse.

je le fis tomber en arriere au sol en ecrasant sa poitrine avec mes talon noirs.

moi: l'ivrogne tu connais G-dog?

ivrogne: G-quoi? aie!

j'appuiya un peu plus mon pied.

ivrogne; je sais vraiment rien! lahce moi s'il te plait je dois me barrer.

moi: même pas en rêve, tes yeux sont dilaté, ta fumer un truc pas reglo et je suis sur que tu le connais.

ivrogne: non! je peux le prouver je connais pas ce type!

moi: et comment?

ivrogne: viens chez moi! je peu te prouver que ya rien.

j'enleva mon pied de sa poitrine.

moi: ok mais fais pas le con.

ivrogne: oui oui.

il se releva en epoustant ces fesses.

ivrogne: au passage moi c'est Frank et vu comment t'es saper tu dois pas etre du coin, je pourrais te faire visiter pour quelques bill-

moi: ferme la et bouge.

frank: ok ok!

il commença a marcher dans la rue tout en deblaterrant a propos de plein de chose.

Quand il s'arreta nous etions devant une maison asser simpatique d'ou selevait beaucoup de bruit.

il rentra en premier.

???: FRANK! QU'EST CE QUE TU VIENS ENCORE FAIRE LA!

je passa l'encadrement de la porte et le vit se faire crier dessus par une fille, la vingtaine je dirais.