Chapitre 12

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Note de l'auteure : Bonjour, bonsoir à vous ! J'espère que vous allez bien. Je suis heureuse de revenir aussi vite avec un nouveau chapitre centré sur les pensées de notre cher Bokuto ! Ça n'a pas été évident à écrire mais j'en suis plutôt satisfaite. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez :)
Je souhaitais juste vous prévenir que j'allais faire une petite pause, à durée indéterminée, mais pas de 8 mois (je te vois Naliy du passé 👀) non plus. Je traverse juste une période difficile dans ma vie privée et écrire une histoire toute douce et joyeuse... C'est pas possible actuellement. J'avais mon plan du chapitre 13 et commencé l'écriture mais je n'arrive pas à le continuer, alors je préfère vous prévenir. Une fois que j'irai mieux je pourrai le reprendre sans risquer d'en détériorer la qualité.
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture, et à bientôt :)

— Tu vas me dire ce qu'il se passe ? Ou tu comptes continuer de soupirer dans ton coin ?

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— Tu vas me dire ce qu'il se passe ? Ou tu comptes continuer de soupirer dans ton coin ?

Bokuto sursauta au son de la voix de son ami. Tendou venait de surgir derrière lui. Installé dans la cuisine de leur maison depuis une dizaine de minutes déjà, le gris triturait le bouchon de la bouteille à moitié vide posée devant lui. Son ami passa le bras au-dessus de lui pour s'en saisir, et rempli le verre qu'il venait de récupérer. Il s'installa face à Bokuto tout en sirotant son verre, le regard braqué sur lui.

— Alors ?

— J'ai rien à raconter, je ne savais que t'étais là.

Tendou afficha une expression surprise. Il faut dire qu'il était extrêmement rare de voir Bokuto renfermé, ça ne lui ressemblait pas. Cela eut d'ailleurs pour effet de rendre son ami définitivement intrigué par son état.

— Alors ça c'est pas banal. Notre Koutarou serait ronchon ?

— Mais non voyons ! J'ai juste pas envie de parler, parce qu'il n'y a pas grand chose à dire.

— On passe de "rien à raconter" à "pas grand chose à dire", on progresse, sourit Tendou. C'est par rapport au taff, ça se passe mal ?

— Non, tout va très bien. mes collègues sont toujours aussi tranquilles et les enfants sont géniaux. Et c'est bientôt les vacances de Noël, que demander de plus ?

— Si c'est en dehors du cadre pro... J'en conclue que le problème c'est Keiji ?

À l'entente du prénom, Bokuto sentit des picotements dans la poitrine, et ses doigts serrèrent un peu plus le bouchon en plastique, toujours prisonnier. Bien sûr que c'était Akaashi. Il n'arrivait pas à penser à quoique ce soit d'autre à part lui depuis quelques temps. Il ne savait pas quoi faire par rapport à ça.

— Qu'est-ce qu'il se passe ? Vous vous êtes disputés ?

— Comme si c'était possible de se disputer avec lui, pouffa Bokuto.

— Alors pourquoi tu tires une tête de trois pieds de long si tout se passe bien avec lui ?

— Parce que j'ai du mal à savoir si c'est réciproque. Il peut être totalement impassible quand il le veut.

Fascinant | Haikyū!!Where stories live. Discover now