𝟎𝟒. 𝐒𝐢 𝐣'𝐞𝐭𝐚𝐢𝐬 𝐮𝐧 𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞

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Flashback.

PDV Cassie :

Je regarde mon père devant moi. Il me sourit. Son sourire s'étend jusqu'à ses oreilles. Il me prend par les cheveux, et je me laisse faire. Je sais que si je me débat, je me retrouverai aveugle.

C'est horriblement atroce de perdre un premier œil. Je crois que j'ai assez souffert comme ça. Il me tâtonne le ventre pour aller me caresser les fesses. L'ordure qui me sert père est un grand pervers. Il m'a enfermé ici presque que pour ça, en faite. Je me rend compte que j'ai fait une seule erreur dans ma vie : lui faire confiance.

Je pensais que puisque c'était un membre de la "famille", il prendrai soin de moi. Haha, quelle ironie. Il me viol tous les jours, jusqu'au sang. Il me torture tous les jours, jusqu'à qu'il me casse quelque chose. Il me traite de tous les noms, tout le temps. Je pense que je vais rester ici jusqu'à la fin de ma vie, si ça continue comme cela.

Père - Eeeh mais t'as développé des abdos toi. Je suis fier de ma fifille ~

- ...

Père - Répond moi quand je te parle.

- ...

Père - Eeehh grosse pute.

- Tu m'as appris à ne pas parler la bouche pleine.

Père - Est-ce que, la maintenant, tu sens quelque chose de dur dans ta bouche ?

- Non.

Père - Mais on dirait que tu le veux ~

Il s'approche de moi et me plaque contre le coin du mur. Il commence son jeu. Me déshabiller, si je ne le suis pas déjà. Puis faire ce qu'il a envie avec mon corps.

Et comme ça pendant des semaines et des semaines.

30 août.

Je crois que c'est le jour de mon anniversaire. Père est venu dans la pièce en disant "Mauvais anniversaire salope". Ce chien est reparti en ne me laissant rien pour manger ou pour me couvrir.

Soudain, j'entends des bruits de pas. Il fait nuit, et la nuit, père ne vient jamais. Il est trop occupé à choper des putes pour son cul. Puis je distingue un hurlement et je sens une odeur de feu. Putain merde, je vais brûler ?!

La porte s'ouvre en grand fracas et un mec aux cheveux noirs suivis de trois petits viennent vers moi. Heureusement, j'ai remis mon kimono à moitié délabrés.

- Qui êtes vous ?

Ils avancent sans s'arrêter. Je me lève avec peine et reculent.

? - T'inquiète pas, on est la pour te sauver.

C'est le grand monsieur qui a parler. Il a une cigarette dans la bouche. Père aussi fumait.

- Je- non.

? - Mais pourquoi, tu ne veux pas partir ?

?? - Laisse je crois on a le même âge.

Je regarde le petit qui a parler. Il a les cheveux longs en tresses.

? - C'est ma sœur, je te rappelle.

? - Et c'est ma demi-sœur.

?? - Vous inquiétez pas, il va gérer

?? - Oui.

𝗗𝗲𝘀 𝗿𝗲̂𝘃𝗲𝘀 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀                                            𝖱𝖺𝗇 𝗑 𝗈𝖼 𝖳𝟣Where stories live. Discover now