𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 𝕯𝖔𝖚𝖟𝖊 🌸

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BISMILLAH

Moi: Non

Il rentre me prend le bras

Moi: Non

Khali: Hocine lâche la

Hocine: Non ! C'est ma soeur je veux lui parler

Khali: Je suis son oncle elle ne veux pas

Hocine: Est ce que c'est toi qui as le droit parentale ? Est tu son représentant légale ?

Khali: Tu va faire quoi

Hocine: Lui parler

Il me prend. On va dans une autre chambre il a fermé à clés

Moi: Tu vas faire quoi

Il m'a coller au mur ma tête à cogner

Lui: Tu me crache dessus ? MOI TU ME CRACHE DESSUS DEVANT TOUT LE MONDE !

Moi: Lâche moi

Lui: Répond moi

Moi: Je le refais quand je veux

Lui: Ose. Ose vas-y

Je le regard avec de la haine.

Lui: Bien. Maintenant tu va te calmer. Parce que wallah j'ai pas de patience aujourd'hui.

Moi: Pourquoi tu fais le gars avec moi

Lui: Parce que tu va devoir vivre avec ce caractère maintenant tu vas connaître 

Moi: T'es un enculé

Lui: On me le dis souvent avant que je bute la personne

Moi: Me touche pas avec tes mains de tueurs

Lui: C'est ses même main qui t'on protéger, qui ton porter, qui t'on aider

Moi: Oui mais mon point de vue a changer depuis deux jours

Lui: Awe

Moi: Ouais maintenant t'es un tueur, un dealeur

Lui: Regarde moi dans les yeux

Je le regard.

Lui: J'vois toute la haine que tu as. Et c'est sa que je verrais entièrement dans quelques semaines.

Moi: Awe tu vois ma haine ? Et sa tu le vois ?

J'lui crache à la figure

Lui: Et sa tu le vois

Il m'a cogner.

Khalil: HOCINE !

Djibril: On va defoncer la porte.

Il m'a frapper pas le visage les bras et le ventre. Puis il a arrêter et il est sortie. Moi j'étais étaler par terre.

Khalil: Enculé !

J'ai regarder il lui as mis un poing ils se sont battu

Khali: SAYEZ STOP !

Djibril est venu.

Lui: Ça va

Moi: J'suis entrain de mourir ?

Lui: Nan t'inquiète pas

Moi: Parce que sinon je veux être avec mes parents

Lui: Tu va pas mourir

Mon oncle entre avec Khalil

Khalil: Vas-y vas dans ta chambre y'a pleins d'hommes ici

Moi: J'ai mal

Il me porte mais j'étais plier en deux. Il saigner du nez et avec un bleu à l'oeil.

Chronique de Farah: Ma deuxième vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant