Os young royals

bad

Pdv Wilhelm :

Je suis dans ma chambre.
Pas celle d'hillershka non, celle au château. Cette chambre qui ressemble plus à une prison à mes yeux.
Je suis par terre, allonger. Je frissonne au contact froid du sol.
J'ai l'impression qu'il manque de l'oxygène dans cette pièce.
Je sais très bien ce qui vas suivre.
J'ai l'habitude.
Une douleur vive naît dans ma poitrine.
Ma respiration se fait de plus en plus difficile.
Des larmes coule sur mes joues et soudain j'ai l'impression que je vais mourir.
Peut être que c'est le cas. Que mon cœur vas s'arrêter.
Qu'il vas lâcher.
Je me relève, espérant que ça suffira pour calmer ma respiration mais rien n'y fait.
Soudain je craque.
Je crie, je pleure et je sens mon cœur se briser encore plus qu'il ne l'étais.
Les souvenirs refont surface. Son visage, son sourire, sa voix. En général, ça me calmer mais la, ça ne fait qu'empirer.
La pièce tourne autour de moi je me cogne dans mon lit avant de trouver un mur et de m'y faire glisser.
J'attrape ma tête dans mes mains et me tire les cheveux.
Je n'en peux plus.
Je ne vie plus, je survie.
Je n'arrive plus à respirer.
Je frappe du pied.
J'ai envie de tout casser.
J'ai envie de partir.
J'ouvre la fenêtre pour fair rentrée de l'air.
Je me penche pour voir la hauteur.
C'est haut.
Ma chambre et au 5eme étage du château.
Le plus haut.
C'est malin. je pense que si mes parents s'avait que j'allais avoir envie de sauter, il m'aurait mis au sous sol.
Où peut-être que c'était leur but.
Que je saute.
Je ne leur apporte que des emmerdes.
Je monte sur le rebord et m'accroche au rideau.
Je me balance au bord de la fenêtre.
Je ne trouve même pas la force de lâché.
Je rigole.
Je pleure.
Je crie.
Des coups se font entendre à ma porte et je m'en fiche.
Un gros boum retenti mais peu m'importe.
Je reste la, accrocher et je regarde le ciel, toujours a moitié suspendue dans le vide.
Je vois son visage.
Son sourire.
Et sans même m'en rendre compte je dis son nom.
"Simon"
Encore et encore.
Des brides de voix me parviennent.
Je ne distingue pas ce qu'ils me disent.
Des mains attrape mes bras.
On m'enlève ma liberté.
Encore.
Même crevé je n'y est pas droit.
Les souvenirs de mon frère ressurgissent.
Ceux de mon discours a Hillershka aussi.
"C'est injuste que je sois encore vivant quand lui n'est plus là"
Je ne les est jamais autant penser que maintenant.
On me fait m'asseoir par terre.
Je reste assis un temps que je n'arrive pas a déterminé avant qu'une main effleure ma joue.
Mon père.
On dirait qu'il a pleurer.
Ma mère est derrière.
Impassible.
Elle s'en fiche.
Elle veux que je meurt.
Que j'arrête d'être un fardeau.
Je vois plein de garde du corps autour.
Malin.
Elle a l'air inquiète.
Je bascule ma tête en arrière et rigole a nouveau.
Une phrase me parvient.
" Il s'est drogué ? C'est pas possible qu'il soit dans cet état ! Toujours a attiré l'attention !"
Ma mère.
" Kristina arrête. Ton fils est pas bien, il a failli s'enlèver la vie et toi tu penses qu'à l'image que ça vas donner. J'en est marre que ton devoir de reine passe au dessus de celui de mère !"
Mon père.
Haha.
Il parle.
J'avais oublier le son de sa voix.
Il ne parle jamais.
Encore moins pour prendre ma défense.
Je rigole de plus belle.
Puis sans que je le veuille je dis:
" Je ne me suis pas drogué mère. Je voulais dire bonjour à Erik!"
Me rendant compte de ce que je vient de dire je m'exclame.
" Oups, ce n'est pas très royal tout ça !"
Et je me remet à rire.
Je ri.
Encore et encore.
Quelques instants après je me retrouve seul avec mon père.
Il me tend une main.
Et je me remet à pleurer et enfoui ma tête dans mes mains.
" Papa. J'en est marre. J'en peux plus. Pourquoi ? Pourquoi tout finis mal. Je ne peux pas être heureux."
"Wilhelm laisse moi t'amener à ton lit. S'il te plaît."
Je lui prend la main.
Il m'aide a me relever Et m'installe sur mon lit.
Je prend mes genoux dans mes mains et me remet à pleurer de plus belle.
Je sens le matelas s'affaisser à mes côtés.
" Wilhelm, j'ai appelé quelqu'un il y a un petit moment. Je lui expliquer, je te rassure, pas tout, et maintenant il est là. Derrière la porte. Je vais te poser la question une seule fois d'accord ?"
Je relève ma tête pour croiser son regard.
" J'ai fait venir Simon."
" Attend Simon est ici?? Dans ce château ??? Derrière la porte???"
J'essuya mes larmes sauta du lit et me regarda dans le miroir.
Je deplissa un peu ma tenu avant de faire face à mon père.
Il rigola.
" Tu l'aimes bien hein?"
" Heu ouai. Ouai... Désolé."
" Pourquoi tu t'excuse?"
" Bah c'est pas vraiment la futur reine que toi et maman vous vous étiez imaginer..."
" Arrête un peu ça !"
Il se leva de mon lit et m'attira dans ses bras.
" Je ne suis pas ta mère, je m'en fiche pas mal de la royauté. J'ai toujours rêvé d'avoir une famille. Et je l'est eu. Quand Erik est mort ta mère a tout de suite pensé à ce que ça voulait dire pour la monarchie. Moi pas. Enfin bref. Moi tout ce qui compte, c'est que tu sois heureux. J'ai pas était un bon père mais je veux en devenir un maintenant."
Il mit fin à notre étreinte et j'essuya mes larmes.
" Je vais sortir puis tu auras la choix. Sois tu lui ouvre sois non. C'est ton choix, pas celui de ta mère."
Puis il s'en vas.
Je le vois tourner la tête vers la gauche avant de refermer la porte. Il a du faire un signe a Simon.
Je prend un grande inspiration avant de me diriger vers la porte.
Je l'ouvre doucement et tourne de suite la tête vers la gauche.
Il assis, la, une balle rebondissante dans les mains qu'il fait rebondir contre le sol.
Lorsqu'il voit Malin qui est assise en face de lui se lever il tourne la tête vers moi.
Je vois son visage et ses yeux rouges.
Il a pleurer.
Il se lève et je le vois hésiter à me prendre dans ses bras. Il regarde Malin comme pour dire: " on est pas seuls..."
Alors c'est moi qui m'approche de lui et quand il comprend il se jette dans mes bras.
Je souris a son contact et j'hume son parfum qui m'avait tant manquer.
" Ptn Wilhelm si tu me refait ça un jour!"
" Quoi? Tu vas me tuer?"
" Tait toi! Si tu refait ça un jour je te jure!"
" Je suis désolée Simon. Pour tout."
" Ne fait jamais ça. Tu imagines comment j'étais ? Je reçois un appel de ton père qui me dit que tu as essayé de sauter de ta fenêtre ! Ptn Wilhelm je veux pas te perdre comme ça ! Je veux pas te perdre tout court! C'est si dur a comprendre que je tient à toi?!"
Rien ne sors de ma bouche.
" Je t'aime Wilhelm."
J'enfonce ma tête dans son épaule quand un raclement de gorge se fait entendre.
Ma mère.
" Oui mère ? Que me vaut se malheur?"
" Wilhelm pourrais-je te parler s'il te plaît?"
" Je suis occupé."
"Wilhelm..."
"Plus tard"
J'attrape alors Simon par la manche avant de le conduire dans ma chambre.
J'entend Malin crier de l'autre côté de la porte: " Ne fermez pas a clée ! Je ne l'aisserait personne entrer!"
Une pointe d'inquiétude se fait entendre alors je l'écoute.
Je me tourne finalement vers Simon et je vois un petit sourire afficher a son visage.
" Ça vas?" Arrivais-je a articuler.
" Ouai..."
Il examine ma chambre.
Je n'ai rien accrocher au mur et très peu de photos. J'en ai que 3. Poser sur mon bureau dans des cadres.
Une photos de moi et Erik quand on étaient petits, on jouait dans les écuries du château.
Une deuxième ou c'est juste lui, son portrait officiel de prince héritier.
Et la troisième c'est Simon. Une photo que j'ai imprimé de son instagram.
Oh mon dieu. Il vas croire que je le stalk. Enfin non il vas savoir que je le stalk.
" Ta imprimer une photo de mon Instagram ?"
" S'il te plaît Simon on en parle pas..."
" Okay okay! Je suis juste content de voir que je fait partie de la seul personalisation de cette chambre."
Ça remarque me fait sourire.
Il arrive a mon lit et regarde la boule a neige poser sur ma table de nuit. Il l'effleure de sa main mais ne la prend pas.
" Simon je suis sincèrement désolé" dis-je en me rapprochant de lui.
Une fois arrivée à sa hauteur je prend son visage dans mes mains.
" Je suis sincèrement désolé."
Je dépose mes lèvres sur le sienne et passe mes mains dans ces bouclettes.
Je le fait tomber sur le lit avant de me relever en sursaut, comme si la réalité me rattraper.
Je me dirige vers la fenêtre et pris bien le soin de fermer les rideaux, juste au cas où, et j'ai fermer la porte a clée, malgré les ordres de Malin.
Je retourne sur le lit, là où j'avais laisser un Simon perturber. En voyant son regard interrogateur je lui dis:
" Désolé. Ça m'a un peu fait flipper l'histoire de la vidéo.."
Un sourire se dessine sur ses lèvres et je plonge mes yeux dans les siens.
" Merci d'être venu Simon"
" Je viendrai toujours pour toi Wilhelm"
Et on s'embrassa.
Encore et encore.
Parfois je me cogner la tête contre la tête de lit et Simon aussi.
Mais peux importe.
J'étais heureux.
Il était la.
J'étais là.
Pas le prince et le boursier, non, juste deux âmes qui s'aiment et qui profite l'une de l'autre.
Deux âmes qui ont besoin l'une de l'autre.
Deux âmes qui sont unies jusqu'à la fin de l'humanité et même au delà.
Le lendemain matin je me réveille dans ses bras. Je sens son souffle contre mon coups.
" Tu dors?" Demandai-je en chuchotant.
" Plus depuis un bon moment"
" Alors tu me regarde dormir?"
" Ça te dérange ?"
" Absolument pas"
Je me retourne pour lui faire face.
" Merci Simon. Pour tout."
Il me sourit et dépose un baiser sur mon frond, puis sur mon nez et finis sur ma bouche.
Je le lui rend avant que ça toque a la porte.
" P*tain encore! Mais c'est pas vrai on est maudit!!"
Ma remarque le fit rire.
Je me lève et m'habille avant d'aller ouvrire la porte et de tomber nez à nez avec des employés qui tiennent un chariot petit déjeuner.
" Votre père nous a demandé de vous monter ça, votre majesté."
" D'accord, merci beaucoup je vais le prendre."
Je leur adressa a sourire et fermit la porte.
" J'espère que ta faim Simon!"
Il s'asseya sur le lit, se frotta les yeux et me sourit.
" Bof. Mais je peux faire un effort pour un petit déjeuner royal."
" Ya rien de très royal crois moi! A part moi..."
" Et depuis quand tu es le petit déjeuner ?"
" Depuis que je te connais. Et je peux être bien plus. Je peux être tout ce que tu veux."
Il prit un coussin avant de me le lancer a la figure.
" Nan mais sérieux !? Je te fait une déclaration et toi tu me déclare la guerre! Je ne te pardonnerais jamais Simon"
" Oh arrête de faire ta tête de mule!"
Il me sourit.
Je lui sourit.
Puis il vint s'asseoir à côté de moi afin de prendre le petit déjeuner.
C'était tout ce qu'il me fallait.
Simon.
Mon Simon.

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Presque 2000mots pour cet OS c'est un record pour moi!
Encore une fois, je m'excuse si il y a des fautes c'est vrai que quand j'écris il est souvent tard donc je fait pas trop gaffe !
N'hésitez pas à me donner votre avis!