Maintenant vas t'en avant que je vienne te frapper
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⚠️ATTENTION J'AI VRAIMENT BESOIN DE VOUS À LA FIN !!!⚠️
T/p: Eddie, merci.
Eddie: Pas de quoi. En tant que super petit copain je me dois de protéger ma princesse. Dit-il en levant le bras GAUCHE vers le ciel (elle est technique celle la mais non ce n'est pas ce que vous croyez) et mit son genoux sur le banc sur lequel nous étions assis.
T/p: Oui oui Eddie. Mais tu sais la princesse sait se débrouiller toute seule des fois. Bref, qui étais-ce ?
Eddie: Je sais bien que tu peux te débrouiller toute seule mais je me devais de remettre ce petit con à sa place.
T/p: Tu ne vas pas me dire qui c'était c'est ça ?
Eddie: Exact. Aller viens. Dit-il en m'ouvrant ses bras.
Je lui fis un énorme câlin faisant mine que tout allait bien. La verité c'est que j'avais vraiment envie de savoir qui était l'homme qui parlait avec Eddie. J'avais peur que ce soit lui.
Eddie: T/p ? Tout va bien ?
T/p: Parfaitement. Dis-je avec un faux sourir.
Il me fit alors un énorme câlin.
Eddie: Tu veux qu'on rentre chez moi ?
T/p: Avec plaisir !! J'ai envie de dormir.
Eddie: T/p, il est même pas 13h. Me dit-il.
T/p: Ça fera comme une sieste alors.
Eddie: Si c'est ce que tu veux.
Il prit ma main et on se dirigea vers sa voiture.
Il ouvrit la portière, se prosterna et me dit.
Eddie: Après vous mademoiselle.
T/p: C'est fort aimable de votre part Munson.
Eddie: Tout le plaisir est pour moi.
Je rentra et m'assis donc dans la voiture.
Eddie fit le tour de la voiture et vint s'asseoir à côté de moi.
Il déclencha le frein à main et adjustable la vitesse.
Quelques secondes après nous étions en route vers son mobil-home.
Après quelques minutes de route, mes paupières commençaient à tomber.
Je senti une main se poser sur ma cuisse.
Le contact de sa bague froide et ma peau presque brûlante me réveilla sur le champs dans un sursau.
Eddie: Attends qu'on soit rentrés avant de t'endormir. Non pas que tu sois lourde, bien au contraire, mais en ce moment mon dos et moi c'est pas l'amour fou vois tu ?
T/p: Ou- oui...pardon.
Eddie: Pourquoi est-ce que tu begaye autant chérie ?
T/p: Chérie ?
Eddie: Ma chérie.
Ces mots pourtant si simple, sonnaient tellement bien venant d'Eddie.
Son regard se faisait insistant, essayant de tout son possible de me faire réagir, voir rougir. Il n'y arrivera pas. Pas cette fois.
T/p: Eddie, regarde la route veux tu.
