Chapitre 5

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Le « toc toc » provenait de derrière la porte et ce n'était surement pas un zombie qui pouvait faire ça.

- Ouvre-moi la porte, tout de suite !! Hurla une voix plus que familière

Je ne répondis pas et restai silencieuse priant pour qu'il parte au plus vite. Les bruits derrière la porte s'intensifier, un mélange de cris de zombies et parmi eux celui de Gwi-nam en colère. J'étais fière de ma barricade car malgré les coups qu'encaisser la porte les chaises et les tables empiler derrière tenaient. D'un coup, le silence complet, les zombies semblaient être partis.

- Il faut à tout prix que je rejoigne les autres au plus vite, l'extérieur semble être calme à présent. Pensais-je

Je m'apprêtais à sortir quand mon instinct me dit de vérifier par une fenêtre de la salle de classe que plus personne ne trainait autour. Je me dressai sur une chaise pour essayer de voir par une fenêtre car la salle que j'avais choisi sans réfléchir avait les fenêtres en hauteurs. En regardant j'aperçus Gwi-nam debout devant la porte attendant et le karma me rattrapa vite. Il me vit en levant la tête et j'ai pu lire dans son regard et son sourire qu'il était satisfait de m'avoir trouvé. Horrifié par son expression, je descendis de la chaise et me remettais assise par terre recroquevillé sur moi-même. Il ne se fit pas longtemps pour entendre la personne derrière la porte parler, puisque tous les zombies étaient partis. Je pouvais tout entendre distinctement.

- Je t'ai vu, c'est trop tard maintenant petite souris. Dit Gwi-nam

- Ne veux-tu pas me laisser tranquille à la fin tu es collant ! Crais-je de mon côté

- Je t'avais prévenu de ne pas filmer, tu m'aurais écouté rien de tout cela serai arrivé. Répond-t-il en essayant de forcer la porte encore une fois

- Ton idiotie m'épatera toujours du jour ou on c'est rencontrer jusque me mort. Rétorquais-je

Aucune réponse ne venait de derrière la porte.

- L'aurais-je énervé encore plus ? Pensais-je

Puis un bruit retentit comme si une personne s'adossait à la porte.

- De toute façon tu n'es pas décider à sortir, alors je vais attendre ici, tu sortiras bientôt pour te nourrir. Reprit Gwi-nam en changeant de sujet

- Et alors tu vas rester là à me parler ?

- Eh bien pourquoi pas ?

- Pff, bon discutons alors. Si je te dis que la vidéo que nous avons filmé ne peux pas être diffuser car il n'y a plus aucun réseaux et d'internet, voudras-tu toujours nous tuer ? Questionnais-je curieuse de savoir ce qu'il allait répondre

- Il faut dire que tuer n'est pas mal mais toi et Cheong-san mourrez dans d'atroce souffrance après ce que vous m'avez fait !

- Eh bien, je peux savoir ce qu'on t'a fait puisque la vidéo ne peut pas être poster.

- HAHA, commençons par ce bâtard de Cheong-san il m'a crevé l'œil avant de me jeter dans l'attroupement de zombie dans la bibliothèque. Toi en revanche tu as fait moins de choses, me balancer à travers les pièces à tout bout de champs m'a juste énervé et ton comportement depuis le début aussi.

En entendait son récit de sa course poursuite avec Cheong-san, un frisson parcouru tout mon corps.

- S'il a été éjecter dans les zombies comme il l'affirme pourquoi est-il ici et surtout pourquoi n'est-il pas devenu comme eux ? Pensais-je terrifié

- Eh bien, tu as perdu ta langue ? Demanda-t-il en rigolant derrière la porte

- NON ! Hurlais-je

- Ah, j'ai compris tu dois surement te demander pourquoi ne suis-je pas devenue comme ses incapables. Bizarrement quand je me suis réveillé après m'être fait dévorer. Ses crétins ne m'approcher plus comme si j'étais des leurs, on peut appeler ça un "humbie". Ne t'inquiète pas quand je te boufferais tu ne sentiras qu'une petite douleur.

- Déjà arrive jusqu'ici et on verra après, je n'ai pas l'intention d'abandonner mon humanité et de devenir comme ses monstres.

- On verra cela plus tard.

- Dit ?

- Oui ?

- Je sais que je vais changer de sujet mais je devais savoir pourquoi tu harcelais ses élevés ?

- Ah tu parles de ceux de la dernière fois, ce ne sont que des parias, ils ne sont pas utiles à notre société.

- Parce que toi tu l'es harcelé des étudiants n'est pas non plus à la société. Affirmais-je

- Oh ! Tu devrais faire attention à tes mots. Pour répondre plus en profondeur à ta question d'avant ces deux nous avaient balancer aux profs quand nous harcelions un de leur ami. Le fils du prof de chimie.

- Tu parles du fils de Lee Byeong-chan ?

- Oui tu le connais ?

A ses mots, je me rappelais mon passé avant que mes parents commencent à partir à droite et à gauche. Nous habitions en face la mère de ce professeur, je jouais beaucoup avec son fils à l'époque. Et le jour de mon déménagement, on c'était promis de se rencontrer plus tard quand nous serions grand, c'était quelqu'un de bien, un gentil garçon mais c'était surtout mon premier amour. Quand nous avons emménager a Hyosan, j'ai appris que son père était un professeur au lycée et j'ai aussi appris la disparition de son fils.

- Alors s'il était harcelé par ce mec cela voudrai dire que Gwi-nam a contribué à sa disparition. Pensais-je

- Non, je ne le connais pas. Répondis-je

- Ah moi de poser une question maintenant.

- Vas-y

- Je t'ai déjà croisé dans la rue plusieurs fois seuls les week-ends ou même quand tu viens au lycée tu es aussi seule, as-tu au moins des parents ?

- Oui, j'en ai mais ils partent tous le temps en voyage d'affaires donc je me débrouille seule.

- Ah, ouais chaud, ils sont en voyages en ce moment ?

- Oui, ils sont à Paris, je leur avais demander quand j'avais encore du réseau de ne pas rentrer. Et toi que font tes parents ?

- Moi, ma mère travaille tout le temps et ne rentre presque jamais à la maison et mon père nous a abandonner quand j'étais encore enfants.

- Oh, ça doit être difficile.

- Un peu, c'est à ma mère de tout gérer.

- Donc tu es aussi la plupart du temps seule ?

- Eh bien oui mais ses parias me font passer le temps.

Je sentais le sommeil venir, mais je ne pouvais pas m'endormir ici et surtout en ce moment qu'est-ce qui pourrait m'arriver si ce psychopathe arrivait à rentrer. Mais le manque de sommeil et le stress prenait le dessus. Gwi-nam raconter des choses que je n'arrivais plus à entendre ma vue se brouillait, je finis par m'assoupir. Mais à peine 10 min plus tard un grand bruit se fit entendre, ce qui me réveilla instantanément encore exténuer je prêta pas attention a ce bruit et regarda si ce humbie était encore là. À ma grande surprise il n'y avait plus personne, je décida de dormir un peu ici avant de rejoindre les autres.


All of Us Are Dead X Readers [TOME 1]Where stories live. Discover now