Chapitre 28

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SLOANE

On les voit revenir et Hopper prend un papier et un stylo.

Dustin : qu'est-ce qui s'est passé ?

Hopper : je crois qu'il parle, mais pas avec des mots.

Steve : c'est quoi ça ?

Moi : du morse.

Hopper : ça veut dire...

Mike et Max : ici.

Hopper : Will est toujours là. Il nous parle.

Puis je reste dans la maison avec les autres.

Dustin : tiret, point, tiret, point.

Lucas : c'est bon.

Moi : F.

...

Nancy : fermer le portail.

Puis le téléphone sonne.

Dustin : merde.

Il décroche et raccroche mais ça sonne encore une fois et je casse le téléphone.

Moi : vous croyez, il a entendu ?

Steve : c'est qu'un téléphone. Il peut être n'importe où. Non ?

Moi : j'espère.

On entend des cries dehors et ils reviennent vite dans la maison.

Hopper : éloignez-vous des fenêtres.

On s'écarte des fenêtres et Hopper prend un fusil et regarde Jonathan.

Hopper : tu sais t'en servir ?

Jonathan : de quoi ?

Hopper : tu sais t'en servir ?

Nancy : moi je sais

Elle le prend.

Moi : il est où ?

On les entend hurler et on se retourne.

Nancy : qu'est-ce qu'ils font ?

On les entend encore une fois et ils hurlent comme s'ils meurent et l'un d'eux passe à travers la fenêtre et on cri tous. Hopper va vers lui et regarde s'il est mort.

Dustin : non d'un chien !

Max : il est mort ?

Hopper lui donne un coup de pied et il ne bouge pas. On entend la porte s'ouvrir et on se tourne vers la porte et le loquet s'enlève et la porte s'ouvre sur Onze. Elle rentre dans la maison et on est tous choquer. Alors elle est vivante ? On se regarde toute les deux et je sens les larmes me monter aux yeux. Je m'approche d'elle est elle s'approche aussi de moi.

Moi : Elfe.

Onze : Sloane.

Je la prends dans mes bras et je la serre contre moi.

Moi : j'ai jamais perdu espoir. Je t'ai appelée tous les soirs. Pendant...

Onze : 353 jours. J'ai entendu.

Moi : pourquoi, tu n'as pas dit que tu étais là, que tu allais bien.

Hopper : parce que je l'en ai empêché.

On regarde tous Hopper.

Hopper : qu'est-ce que tu as foutu ? Demande-t-il a Onze en s'approchant d'elle. T'étais passer où ?

Onze : et toi t'étais passer où ?

Donc puis tout ce temps il savait où elle était et il nous a rien dit ?

Moi : c'est toi qui la cachée. Tu la cacher pendant tout ce temps !

Je le frappe à l'épaule et il se retourne vers moi.

Hopper : hé du calme. Vient on va parler. Seul à seul.

Je lui lance un regard noir et il me pousse loin des autres pour aller dans la chambre de Will.

Moi : la protégée ? La protégée de quoi ? Dis-je énervée.

Hopper : plus il y aura de gens au courant, de son existence plus elle sera en danger. Plus tu seras en danger, et plus ta famille le sera aussi.

Moi : oh alors on devrait te remercier ?

Hopper : je te demande pas de me remercier. Je te demande d'essayer de comprendre.

Moi : je peux pas ! Je peux pas comprendre !

Hopper : ça va laisse tomber, mais c'est pas à elle qui faut en vouloir ! D'accord, elle est déjà assez contrariée comme ça.

Moi : je lui en veux pas à elle, c'est à toi que j'en veux ! Je t'en veux à mort !

Hopper : c'est pas la peine dans faire un plat. Tout va bien.

Moi : non y a rien qui va justement ! Y a rien qui va dans cette histoire !

Je le pousse énervée et je continue de le frapper dans le ventre.

Moi : t'es qu'un gros menteur !

Hopper : arrête !

Moi : espèce de connard !

Il me prend dans ces bras pour que je me calme et je me retiens de pleurer.

Coup De Foudre ?Donde viven las historias. Descúbrelo ahora