Genshin Impact x Mâle reader [TERMINÉ]

🏔 Albedo x Mâle reader 🏔

Pour Nekumy

Merci d'avoir commandé et je te souhaite une bonne lecture :)

Il est un peu plus court que d'habitude, désolée.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Toi : Qu'est-ce que j'ai fait pour me retrouver dans cette galère sérieux...

Toi, T/p T/n, grand assistant du grand alchimiste Albedo, aussi surnommé le prince de la craie, te retrouvais à présent dans une situation assez délicate.
Tu avais voulu ranger un petit peu ton bureau de travail, où plusieurs produits chimiques se trouvaient, et tu avais eu le malheur d'en faire tomber quelques uns. Encore plus grand malheur, il s'agissait de fioles contenant des particules élémentaires à haute densité. Dont, une dendro, et une pyro. Tu en subis les effets presque immédiatement.
Tu tombas à genoux, transpirant comme jamais, mais ayant des frissons, choses extrêmement contradictoires. Ta poitrine te faisait terriblement souffrir, et tu avais du mal de respirer. Mais surtout, le pire de tour ça...c'est que tes instincts se réveillèrent. Tu étais en chaleur, oui.
Albedo rappliqua presque immédiatement, et ferma la porte de ton bureau violemment. Tu ne savais pas exactement ce qu'il fit à ce moment là, mais il te dis boire un liquide qui te soulageas directement.
Soulagé que ce soit fini, tu t'adossas contre une comode et soupira.

Toi : Merci Monsieur Albedo, je ne sais pas ce que j'aurai fait sans vous...

Albedo : Ce n'est rien, reposez-vous à présent. La réaction élémentaire brûlure n'est pas la réaction la plus agréable. Désolé que vous ayez dû subir ça.

Toi : Ce n'est pas votre faute, je n'aurai juste pas dû faire du ménage avec des produits de ce genre sur mon bureau je pense.

Tu rigolas légèrement, ce qui fit rougir Albedo violemment, qui détourna la tête avant que tu ne le vois.

Albedo : Je vais y aller. Si vous avez d'autres problèmes de ce genre, appelez-moi directement.

Toi : D'accord, merci encore.

Alors qu'Albedo s'apprêtait à sortir, tu l'appelas.

Toi : Monsieur !

Il se tourna dans ta direction.

Albedo : Oui ?

Tu allais dire quelques chose, mais te ravisas.

Toi : Faites attention à vous sur le chemin du retour.

Ton chef sourit gentiment et partis. De ton côté, tu étais rouge comme une tomate.

Nan, je peux décidément pas lui dire.

Je ne peux pas lui dire que, lorsque j'étais en chaleur, je pensais à lui.

De son côté, Albedo regagna son laboratoire aux Monts Dosdragon. Il frappa du poing sur la table. Il était rouge comme une tomate. Le blond n'arrivait pas à te sortir de ses pensées.
Quand tu étais rouge en train de souffrir, hors contexte, il t'avais trouvé terriblement mignon. Lorsque tu lui avais souris, son coeur avait comme fondu dans sa poitrine.

Oui décidément.

Vous étiez fous l'un de l'autre.