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   Ali:

Aymen : cimer wallah vous n'avez pas idée de comment ma famille aurait été dévasté si vous n'etiez pas là.

Moi : Sirine est une femme bien et je ne permettrait à quiconque de lui faire du mal.

Aymen : comment vous sentez-vous ?

Moi: bien

Aymen : entoucas merci, ma mère compte vous rendre une petite visite

Moi : ce n'est pas la peine.

Aymen : ah gars personne ne dit non à Asia.

Moi: le genre de mère autoritaire.

Aymen : oui mais c'est aussi une lionne , elle ferait n'importe quoi pour ses enfants.

Moi: vous pouvez donc vous estimez chanceux tout le monde n'a pas cette chance.

Aymen : votre visage me semble familier en sah.

Moi: tu as sans doute dû me voir dans Une magazine.

Aymen : hum..

: C'est bon il peut sortir.

Aymen : je vous dépose.

Moi: Merci pour l'offre mais mon chauffeur m'attend.

Aymen : ah . Grosse tête on y va.

Sirine : euh ... Est-ce que je peux l'accompagner.

Aymen :....

Sirine : stp juste le temps de voir s'il n'a besoin de rien.

Aymen : azy....

Elle prend son frère dans ses bras. Puis une fois seule , elle se tourne vers moi.

Moi: ce n'était pas nécessaire.

Sirine : ce qui vous est arrivé était en partie de ma faute.

Moi : vous n'avez pas à vous sentir coupable.

Sirine : je tiens quand-même à vous accompagner.

Moi: très bien.

J'étais prêt à me lever lorsqu'elle est venue vers moi en vitesse.

Sirine : besoin d'aide.

Moi : non.

Elle ne m'écoute pas puis passe mon bras autour de son cou.
La même opstination que Imen.

(••)

Moi: vous pouvez rentrer chez vous m'lle ben******* mon personnel se chargera du reste.

Sirine: non il faut d'abord que vous mangez avant de prendre vos médicaments.

Elle pose le bol de soupe en face de moi puis me regarde en fronçant les sourcils.

Moi: je suppose que j'ai guère le choix.

Sirine: bonne réflexion.

Moi: très bien !

Je me mets à boire sa soupe , ensuite elle me passe les médicaments.

Mon téléphone sonne je réponds devant elle puisqu'il s'agit de mon pilote.

Moi: j'ai eu un contretemps mais demain soir inchallah nous quitterons ce pays.

Je raccroche puis croise le regard de Sirine.

Moi: un problème.

Elle : euh... Non tout va bien.

Moi:👀

Elle : vous allez vraiment partir.

Moi: plus rien ne me retiens ici.

la renaissance d'une reineWhere stories live. Discover now