La mort dans l'âme [Larry]

Chapitre 8

Oh mon Dieu ! Je suis dans les temps !x) enfin dans ce que j'avais prévu ! Bref encore désolé pour le petit inconvénient... Mais j'ai réussi à le réécrire et ect... Enfin bref je vous fais pas plus chier mes ptits démons !
Bonne lecture !

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Louis.

Nous étions face à face, au centre d'un vieux sous-sol. Le sol était en béton, maculé de tâches sombres, que je soupçonnais être de la moisissure, ou, du sang séché.
Ou bien les deux.
La pièce était éclairée à l'aide d'ampoules nues, disposées à intervalles réguliers.

J'avais remis mes vêtements, et tenais dans une main, un canif que j'avais eu la chance d'oublier dans la poche arrière de mon jean.
Il avait encore ri lorsque je lui avais demandé de me laisser me rhabiller, et il m'avait répondu que mon jean était trop serré et qu'il me ferait perdre de la fluidité. Je lui avait alors rétorqué d'un ton acerbe, que fluidité ou non, il était hors de question que je l'affronte en sous-vêtements.
Dans ce souterrain, je n'avais pas la moindre idée de l'heure qu'il pouvait être. Peut-être était-ce déjà l'aube, ou bien faisait-il encore complètement nuit. Et je me demandais brièvement si je reverrais jamais la lumière du jour.

Lui, n'avait pas changé de vêtements. Apparemment, la fluidité ne faisait pas parti de ses problèmes. Il faisait craquer ses doigts et rouler sa tête sur ses épaules, alors que ses yeux brûlaient d'impatience.
De mon côté, je n'était pas tranquille, mes mains étaient moites, et je n'aurais pas refusé une paire de gants.

-Très bien mon Chou, comme je suis un gentleman, je vais te laisser tenter ta chance en premier. Allons-y.
Dit-il platement.

Sans attendre une seconde de plus, je le chargea en courant le plus vite possible, mon unique arme pointée sur lui. Lorsque j'arrivais à sa hauteur, il tournoya en un demi-cercle pour m'éviter et il émit un petit ricanement exaspérant.

-Tu fais ton jogging, Chaton ?

Je m'arrêta, puis lui jeta un regard furieux par-dessus mon épaule.
Par l'enfer, il était vraiment rapide. Je ne parvenais presque pas à distinguer ses mouvements.
Rassemblant le peu de courage que j'avais, je feinta un coup au-dessus de sa tête, avec ma main droite. Il leva un bras pour bloquer mon attaque et je frappa son estomac à toute volée, de ma main gauche. Je parvint à entailler sa peau, avant de l'entendre feuler et de recevoir, en retour, un coup de pied très douloureux dans le ventre. Et alors que j'étais plié en deux, cherchant mon souffle, je le vis examiner ses vêtements avec une petite grimace.

-J'aimais bien cette chemise, et tu l'as déchirée.

Nous recommençâmes à nous tourner autour, moi, en respirant lentement pour surmonter la douleur qui me déchirais le ventre.
Puis, plus rapide que l'éclair, il me fonça dessus et me frappa à la tête avec son poing. La violence du coup me fit voir des étoiles. Je réagis sans réfléchir et me défendis en lançant mes pieds, mes poings, et tout ce qui me passais sous la main, ainsi que mon arme.
Les coups que je reçu en retour étaient aussi puissants que rapides.
À bout de souffle, le regard trouble, je multipliais les ripostes en usant toutes mes forces.

Tout à coup, la pièce se mît à tourner et je me sentis propulsé en arrière.

Il se tenait à trois mètres de l'endroit où je gisais. De toute évidence, je ne faisais pas le poids contre lui au corps à corps.
J'avais l'impression d'être tombé d'une falaise tandis que lui ne portait presque aucune marque du combat.
Pris d'une inspiration soudaine, je lança mon canif. Celui-ci fendît l'air d'une vitesse incroyable, qui m'étonna, et il s'enfonça dans sa poitrine.

-Bon sang, sale gamin, ça fait mal ! Gronda-t-il.

Lorsque qu'il arracha l'arme de son torse, mes yeux s'arrondirent comme des soucoupes. Et pour cause, le sang qui jaillissait de sa blessure s'arrêta brusquement de couler, comme si l'on avait fermé un robinet. Comment ?! Je secouai la tête et me reprenais.
J'étais consterné, l'attaque que je venais de lui porter ne l'avais qu'à peine ralenti et je n'avais désormais plus d'arme.
Réunissant le peu de mes forces restantes, je sautais sur mes pieds et me remis à marcher à pas lourds.

-Ça te suffit ?

Il me fit face et inspira. Une fois. Désarçonné, je clignai des yeux. Il était à peine essoufflé, alors que moi, de mon côté, j'étais hors d'haleine et dégoulinais de sueur.

-Pas encore. Je ne lâcherai pas l'affaire.

Il y eu un nouveau mouvement flou et il était sur moi. Je tentais du mieux que je pouvais de bloquer ses coups, tout en essayant de l'atteindre. Peine perdue, il était bien trop rapide. Ses poing me frappaient avec une force brutale.
Après une dizaine de minutes, qui me parurent une éternité, je tombai sur le sol, pour cette fois ne plus me relever.
Incapable de bouger, je le regardai à travers mes paupières gonflées. Sa silhouette menaçante se dressait devant moi alors qu'un voile rouge recouvrait ma vue.

Je n'ai plus à m'en faire pour ses conditions, me dis-je avec découragement. Je ne survivrais probablement pas à mes blessures.

-Et maintenant, t'en as eu assez ?

Je ne pouvais pas parler, ni acquiescer ou encore moins penser. Et pour toute réponse, je m'évanouis. C'était bien la seule chose dont j'étais encore capable.

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Pehehe .. Donc je vous laisse sur ça ! ^^
Je sais que c'est un peu court comparé à mon chap précédent .. mais pour ce chap la, je ne savais pas trop comment m'y prendre ... Alors voilà ! Je m'excuse pour les fautes d'orthographes .. Mais comme on dit, personne n'est parfait ! x)

Donc dites moi tout ! Qu'avez-vous pensé de ce chap ?
-De leur confrontation ?
-D'Harry et de ses agissements ?
-Et de notre cher Louis ?
-De son acharnement à vouloir battre Haz ?
-La fin ? comment Hazza à recalé Lou ?
-Que va-t-il se passer par la suite ?

Bref ! Commentez , votez et dites moi ce que vous en avez pensé et si ça vous a plu ou non.. Ça fait toujours plaisir ! ^^ et vos com m'aident beaucoup pour ma fic, pour m'améliorer et aussi envisager la suite. J'adore aussi savoir ce que vous en pensez !

J'vous retrouve dans les commentaires ! Sur ce, Tchuusss !;)