▪︎ Chapitre 47

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| Un nouveau sentiment |

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Momo : C'est Bakugo....

Moi : Qu'est-ce qu'il a fait ?

Shoto : Il va être renvoyé du lycée.

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PDV BAKUGO

Je vais en direction de mon casier pour récupérer mes affaires. Ce matin ils ont annoncé mon transfert dans un autre établissement à cause de l'incident avec Diana. Ils viennent d'appeler mes parents pour leur expliquer la situation. Ils m'avaient laissé le choix entre le transfert ou une exclusion de quelques jours suivie de plusieurs heure de colle jusqu'à la fin de l'année. J'ai directement choisi le transfert dans une autre école.

Le fait de changer de lycée me permettra de prendre mes distances avec Diana et je pense que c'est ce qu'il y'a de mieux, peut-être qu'après mon départ Kaito arrêtera de lui tourner autour sous prétexte de vouloir se venger.

Je ne tarde pas a être rejoins par Kirishima et Denki.

Kirishima : Qu'est-ce que tu fais ?

Moi : Ça se voit pas ? Je récupère mes affaires pour mon transfert.

Denki : T'as plus besoin de ranger t'es affaires !

Moi : Hein ?

Kirishima : Diana a réussi a éviter ton renvoie !

Moi : Quoi ?!

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PDV : DIANA

Je suis avec Kaito dans le bureau du proviseur je lui ai demandé de m'aider a éviter le transfert de Bakugo et il a accepté. Il a tout avoué devant le proviseur, apparemment c'était Misaki qui était derrière tout ça. Il l'avait surpris en train de planifier son plan avec les jumelles et elle lui a fait du chantage pour qu'il se taise. Maintenant c'est Misaki qui risque un renvoie.

Quand le directeur nous invite a sortir du bureau nous croisons Bakugo qui a l'air assez en colère de voir Kaito.

Bakugo : Pourquoi tu t'es mêlé de mes affaires ?!

Moi : Écoute Bakugo, c'est moi qui lui ai demandé son aide pour-

Bakugo : Je ne vous ai rien demandé que je sache. J'aurais encore préféré être renvoyé plutôt que d'être sauvé par lui. Il s'en va sans manquer de bousculer Kaito.

Il avait l'air sérieux en disant ça. J'aurais peut-être mieux fait de me mêler de ce qui me regardait.

Ellipse fin de la journée

Je sors du lycée et me dirige vers le parking où le chauffeur m'attend. Quand j'entend les cris d'une femme en colère. Je m'approche discrètement de la voix quand j'aperçois Misaki et une femme qui doit avoir la quarantaine lui crier dessus. Elle garde la tête baissé comme un enfant qui vient de faire une grosse bêtise. C'est rare que je la voit dans une position de faiblesse.

Comme un hérisson. K.Bakugo Tahanan ng mga kuwento. Tumuklas ngayon