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CHAPITRE VINGT-NEUF

(NDA : On retourne au point de vue de t/p)

Je me réveil tranquillement en voyant une tête blonde encore endormi dans le lit d'à côté.
Les derniers événements sont vraiment fou, dire que j'ai faillit crevé et que Hyerim est vraiment morte.
Son père ne va pas me laisser tranquille après tout ça je suis vraiment foutu quoi qu'il arrive.

Je souffle d'exaspération.

- Eh bah qu'est-ce qui te fais souffler comme ça ? Depuis tout à l'heure je t'entend tu m'empêche de dormir.

- Désolé..

Il sourit me dévoilant ses petites fossettes et vient se caler dans mon lit.

- Chan il y a à peine de la place pour une personne.

- Mais non on passent.

- Tu crois vraiment que.. aïe !

Il s'arrête et me regarde paniqué.

- Pardon ! Je t'ai fait mal ? Ça va ?

- Oui ça va mais doucement s'il te plaît, le moindre geste me fait mal.

- Désolé.. je vais appeler une infirmière.

- Chan je vais bien arrête.

- On sait jamais.

Je roule des yeux et une infirmière arrive quelques minutes après.
Elle prend ma tension et change mon pansement.

- Tout vas bien, je repasserais cette après-midi pour quelques examens.

- Quand est-ce qu'elle pourra sortir ?

- D'ici deux semaines s'il n'y a pas de complication.

- D'accord, merci.

Elle repart et le leader se rapproche de moi en prenant ma main dans la sienne.

- Ça va être long deux semaines. dis-je

- Oui mais c'est pour ton bien, on ne sait jamais.

- J'ai hâte de rentrer chez nous.

- Moi aussi, tu ne peux pas savoir comme c'était dur de vivre sans toi.

Je lui souris et il continue de me fixer sans rien dire.

- Arrête de me regarder comme ça on dirait un psycopathe.

Il rit et me répond.

- Je suis juste content d'être avec toi.

- Moi aussi, du coup tu n'as pas fini de me raconter ton histoire hier ! Je veux tout savoir.

- Qu'est-ce que tu veux savoir ? me répond t-il

- Si tu me parlais de tes parents ?

Il souffle un coup et trifouille mes doigts l'air de chercher ses mots.

- Si tu ne veux pas c'est pas grave. le rassurais-je

- Non je veux t'en parler, je réfléchis juste par ou je pourrais commencer.

- Prend ton temps.

Il me fait un sourire triste et décide de prendre la parole.

- Ils étaient formidables, mon père travaillais énormément mais il essayait toujours d'être là pour mes compétitions de natation et ma mère était tellement gentille et douce. D'ailleurs parfois tu me fais un peu penser à elle et les plats que tu cuisine s'en rapproche aussi énormément.

Till the end | BangchanWhere stories live. Discover now