Une famille parfaite
Des parents avec un boulot stable
Un petit garçon brillant
Mais qu'en est-il de l'ainée de la famille ?
Tout semblait pourtant lui sourire, mais malheureusement certains incidents de la vie oblige à faire des choix qui peuven...
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"CRÊPES DATE" ☆𖤓☆
PDV de Moana Ndiaye Paris, France 26 septembre 2021 12h24
Tirant une dernière taff sur ma cigarette, je baissais les yeux du ciel et me concentrer sur les bâtiments parisiens qui faisaient face à la Gare de Lyon, je n'avais pas envie de bain de foule. J'avais donc prévenu la brune que je me trouverai à l'extérieur, j'étais épuisé, j'avais été incapable de dormir pendant des jours, mais j'avais récupéré mon permis, je n'avais plus besoin de prendre le métro ni un taxi pour faire des déplacements et ce serait mentir que de dire que je n'avais pas fait une petite danse de la joie en rentrant chez moi. Ça faisait longtemps que je n'avais pas été heureuse pour une chose si futile, mon frère m'a dit que c'était une bonne chose, je trouvais ça débile. Peut-être qu'il avait raison et que j'avais tort, mais dans tous les cas, j'avais souris, pendant une bonne demi-heure, et mon Dieu ce que ça fait du bien.
??-comment va ma photographe personnelle ?
-du calme Bella, je suis photographe de l'équipe de France, pas de madame Vydia Lefebvre
Vydia-excusez-moi, madame prend en photo monsieur Mbappé, j'avais oublié !
-tu crois quoi toi, je côtoie des stars moi
Vydia- j'avoue que tu as fait fort sur ce coup, t'as toujours réussi à te foutre dans des sacrées magouilles, mais celle-là, c'est la perle rare !
-c'est vrai que j'ai été dans pas mal de magouilles tiens
Vydia-tu te souviens de Naël du collège ?
-oui, c'est le petit brun qui était pro Bayern parce que son père avait travaillé en Allemagne non ?
Vydia-exactement, je l'ai vu dans le train, on a discuté, il travaille avec son père, lui qui faisait que de répéter qu'il ne serait jamais comme son père tiens
-ne dis pas ça, j'ai juré sur ma vie que je finirais jamais comme ma mère aussi
Vydia- oui, mais toi, c'est sûr que tu seras jamais comme ta mère
-c'est quasiment plus ma mère donc bon...
Vydia-bon, je suis là pour jouer les Valérie Damidot pas les Faustine Bollaert hein ? on a des meubles à monter non ?
Je souriais à la brune toujours aussi joviale et ça depuis sa plus tendre enfance, attrapais rapidement sa valise et l'a tiré jusqu'à ma voiture, la brune ne me laissait même pas deux secondes pour terminer ma clope qu'elle avait déjà connecté son téléphone et lancé sa playlist « swiftie » sans même me consulter.
