Chapitre 10

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PDV Léo

Quand je sortis pour aller dans la cour, je la vis en plein milieu de la cour entrain de pleurer. Je m'approchai doucement d'elle et la pris dans mes bras. Ça me fesais du bien de pouvoir la prendre dans mes bras.

Elle était si triste, ça me rendis malheureux. Je l'aimais tellement cette fille.

J'avais vraiment envi de lui dire sa vrai nature mais Kylian m'en avait interdit. C'était tellement injuste! Moi qui lui était fidèle, il m'empêchait de dire à ma tendre aimée la vérité!

J'avais vraiment hâte qu'elle se transforme car au première transformation, on pouvait savoir tous ce que le nouveau ressentait envers les autres. Et j'avais très envie de savoir ce qu'elle ressentait pour moi.

J'avais une question a lui posé. J'hésitais un peu mais je me lançai:

- Dis-moi Jena, pouquoi pleures-tu autant? Lui dis-je doucement.

PDV Jena

Quand il me posa cette question, je n'avais pas envie de lui répondre mais il m'avait si gentiment réconforter que je lui dis la vérité.

- Eh bien, j'ai téléphoné à ma mère et elle me manque beaucoup mais elle a raccroché si facilement que j'ai eu l'impression qu'elle s'en foutait de moi.
- Ne dit pas ça, tu sais que c'est faux!
- Oui mais, j'ai beaucoup de doutes. Et pas seulement sur ça mais aussi sur ma vrai nature. Je ne suis pas sûre d'être un vampire. J'ai fait un rêve si bizarre. Il n'y a pas que ça, je suis différente des autres vampires.
- Ne dis pas ça.
- Si Léo, je le sais. N'essaye pas de me contre-dire! Dis-je furieusement. (Car ce matin, je m'étais réveillée avec plein de poils sur les jambes. C'était vraiment affreux mais je m'étais retenu de hurler pour ne pas réveiller Julie. )
- Oh non, je ne veux pas te contre dire. Dit-il d'un ton si calme et doux que ça me détendit.
- Merci d'être là pour moi.
- De rien. Ça se fait entre...amis... dit-il en hésitant sur le mot "amis".

Je voyais bien qu'il voulait qu'on soit plus qu' amis mais pour l'instant je ne voulais pas pensée à ça même si j'en avais envie.

Il me regardait avec ses yeux si beau. Je me mis à le détailler. Je remarquai qu'il portait un T-shirt blanc , très simple mais qu'il laissait paraître sa magnifique musculature et un bête jeans. Quand je vis, qu' il me regardait le détailler,  je me mis à rougir et détournai mon regard. Il rigola, son sourire était éblouissant et son rire sonnait si bien que je me rapprochai de lui et l'enlaçai. Sa chaleur était vraiment agréable.  Je le sentis resserré son étreinte autour de moi. On resta là pendant quelques minutes quand il me dit:

- Je dois y aller, ma meute m'appelle. - Vas-y mon gros loup!
- Eh, je ne suis pas gros! Me dit-il en boudant.

Je rigolai et il partit.

Un Amour ImpossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant