enrevoir

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Une grande complicité avait liés les Penvensie à Jane.
Celle-ci se trouvait actuellement en plein combat avec Edmund.

Jane: tu abandonnes. Reconnais que je suis supérieur.

Edmund: jamais.

Il s'échangèrent de nombreuse frappes jusqu'à ce que Jane mette sa lame sous la gorge d'Edmund.

Jane: et là?

Il leva les mains en signe de défaite.

Edmund: je m'avoue vaincu.

Ils marchaient tous les deux pour ranger leurs lames.

Edmund: la paix et revenu à Narnia.

Jane: et elle disparaîtra, pour revenir.

Edmund: y'a t'il une nouvelle menace.
Il fronça les sourcils.

Jane: Narnia et entourait de contrées appartenant aux Hommes. La paix ne peut exister totalement avec eux. Les humains recherchent toujours le pouvoir, ils sont avides. Un jour ils menacerons Narnia. Et la paix est fragile. Et même si l'être humain est capable d'amour et de compassion pour l'éprouver il faut que certain cause le carnage autour d'eux. Et la violence appelle la violence, la vengeance appelle la vengeance. Tous est éphémère en ce monde. C'est ce qui le rend beau... La paix est une belle chose, c'est pour ça qu'elle est éphémère, c'est pour qu'elle puisse revenir.

Edmund: c'est à la fois triste et beau ce que vous dites. Mais n'avez vous pas plus fois en l'être humain? En sa force? En son amour?

Jane: j'ai été humaine et même si ma vie est plus longue, je la vie toujours en tant que t'elle. Je suis une humaine alors je comprends leurs sentiments. Et je sais de quoi nous sommes capables. Je sais que nous sommes une espèce avec des sentiments qui nous rend magnifique, mais nous sommes aussi des destructeurs. Des monstres c'est comme sa. Nous donnons autant d'amour et de paix que nous semons de désolation et de carnage.

Edmund resta le regard fixé sur la jeune fille qui semblait perdu dans l'immensité du ciel. Même si les mots qu'elle employait était dure. Au fond il savait qu'elle avait raison.

Cela faisait maintenant 3 ans que les Penvensie régnaient sur Narnia.

Jane le savait Narnia et eux n'avaient plus besoin d'elle. Pour l'instant. Aslan aussi l'avait rappelée. Et il était tant pour elle désormais de partir.

Alors que les Rois et Reines étaient réunis Jane s'approcha.

Jane: je suis venu vous apporter une nouvelle. Je démissionne de mon poste de première conseillère.

Peter et Edmund fronçaient des sourcils. Susan avait l'air troublé tandis que Lucy paraissait profondément triste.

Lucy: pas déjà. Ce n'est pas encore temps. N'est pas encore un peu.

Jane: vous le présentez comme toujours avant les autres, votre cœur à raison.

Susan avait compris.

Peter: que se passe t'il ? Lucie?

Lucy: elle part comme Aslan.

Les deux Rois ouvrir la bouche et la refermèrent. Tous c'étaient attachés à la jeune fille depuis le temps qu'elle était à leurs côtés.

Edmund: nous reverrons-nous?

Jane: je l'ignore. Mais je le souhaite vos majestés. Que dis ton cœur majesté Lucy?

Lucy: la même impression qu'Aslan, nous nous reverrons. Mais vous que dis votre cœur?

Jane ne répondit pas. Elle avait déjà comprit qu'ils se reverraient mais plusieurs siècle plus tard. Qu'ils retourneraient dans leurs mondes.

Jane sourit énigmatiquement
Jane: c'est de la magie je ne peux vous le dire.

Jane s'agenouilla devant eux. Jamais elle ne s'était incliné après tous le peuple Narniens la considéré comme un être égal au Rois et Reines.

Jane: j'ai prêté serment en vous et prêté serment pour protéger le peuple Narniens. Aussi longtemps que j'existerais, je serai lié à vous et à la destiné de Narnia. Je reviendrai lorsque les tambours de la guerre résoneront lorsque les épées s'entrechoqueront. Je reviendrai quand l'aube sera rouge teinté par le sang. Je reviendrai pour accomplir mon serment.

Elle se releva.
Jane: enrevoir ceci n'est pas un adieu, mes seigneurs.

Elle marcha vers la porte et un rayon lumineux dorée l'entoura. Ils clignérent des yeux mais lorsqu'ils les réouvrir, elle n'était plus là.

Jane se tenait sur une étendue de sable devant la mer devant de grandes vagues cachant un autre monde.

Jane: je suis fatiguée. Un long sommeil m'attend n'est ce pas?

Aslan: tu les reverras mon enfant. Il ne dureras pas éternellement.

Jane: je dormirais sans crainte alors.

Elle tomba doucement sur le sable le souffle apaisé.

Le lion souffla doucement sur la jeune fille endormie comme pour la bénir et s'éloigna.

La Messagère Du LionWhere stories live. Discover now