Découvrez l'histoire des jumeaux Monkey D , Luffy et Seikai .Inséparables c'est ce qu'étaient Luffy et Seikai jusqu'à l'incident qui les éloigna l'un de l'autre...
Mais un jour...
-Seul mes OC m'appartiennent les autres appartiennent à Eichiro Oda...
J'ouvre doucement les yeux histoire de m'habituer à la luminosité ambiante. En premier temps, je fut surpris de sentir une petite chose se blottir contre moi et ensuite je me rappelais des évènements de la veille.
Je redressa la tête et manqua de faire une crise cardiaque. Luffy me scrutait comme si je venais de tuer sa sœur.
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Une lueur de défi naquit dans le fin fond ( C'est comme ça qu'on écrit ??) de mon regard. Comme pour voir jusqu'où il pouvait se retenir de me frapper, je rapprochais Seikaï de moi et resserre mon emprise sur elle tout en affichant un sourire provocateur sur mon visage. Je ne suis pas déçu du résultat.
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Je pense que s'il pouvait tuer avec un regard, je serai mort désintégré depuis 10 minutes, au moins.
Mais cela ne me découraga pas pour le moin du monde. Et pour pousser encore plus loin je me décidai a jouer un peu avec les boucles de ses long cheveux brun. Je sentis mon nouveau capitaine tiquer encore plus. Bon je ferais mieux d'arrêter si je ne veux pas me faire virer de l'équipage au bout de même pas un jour. Je stoppai alors mon petit jeu en regardant dans le blanc des yeux la personne devant moi.
Après avoir passé 5 minutes, voire plus, à se défier du regard, la principale concernée de cette querelle silencieuse se réveilla et bailla. Un peu dans les vapes elle prit la parole d'une voix pas très réveillée.
Seikaï : Ahhh... Luffy-nii? Ah oui c'est vrai! Désolé Chitsujo, je me suis endormie sur toi, j'ai pas fait exprès désolé!
Je ricanna à la réaction du dit grand frère et rassura Seikaï en lui disant que ce n'était pas grave au point de me sortir un telle tirade d'excuses. Elle se leva dans une dernière excuse et s'en alla certainement prendre son petite déjeuner.
Je me la suivis du regard et me tournai vers mon capitaine.
Luffy: Je crois qu'il va falloir qu'on parle
Le sourire qu'il affichait était bien évidemment faux. Ahlala l'amour fraternel... Je sens que je vais bien m'amuser avec eux.
Je me retirai à mon tour afin de prendre mon petit déjeuner avec les autres, suivis de près par le grand frère protecteur.
