Chapitre 8

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Je me reveille a cause d'une cloche sonnant.
J'ouvre mes yeux pour voire le torse encore dénudé de Cinq.
Je lève ma tête qui était sur l'épaule de Cinq pour voire celui-ci les yeux grand ouvert me regardant.
J'essaye de me lever alors mais son bras autour de moi m'en empêche.

Cinq : Alors, dis moi, que fais-tu dans mon lit ?

Vingt-deux : je me suis endormie pendant que je te surveillais. N'imagine rien.

Cinq : Tu es sur que tu voulais juste pas dormir avec ton ours en peluche privé ?

Vingt-deux : Tu n'est pas aussi mignon qu'un ours en peluche.

Cinq : Ça veut dire que je suis mignon ?

Vingt-deux : Aucunement. Tu es trop arrogant pour ça. Mais dit moi, pourquoi me tiens tu contre toi ?
Dis-je avec un sourire malicieux.

Cinq : Parce que tu me tiens chaud, c'est agréable et que ça me rappelle nos bonne veilles missions.
Dit-il d'un sourire innocent.

Puis Klaus entre dans la chambre avec les fameuses cloches.

Klaus : Debout ! On se réveille les amoureux !!! C'est pas le temps de ce faire des bisous matinal !!!

Cinq : Qu'est-ce que tu fou là Klaus ?

Klaus : Réunion familiale Urgente !!! Vingt-deux tu fait partie de la famille donc viens mais change toi ! Tu es pleine de sang mais dépêchez vous ! Luther est déjà debout !

Je me redresse dégageant le bras de Cinq et regarde mon pull vert tâcher du sang sécher de Cinq. Pendant ce temps Klaus est partis.

Vingt-deux : Fait chier.

Cinq : Viens je vais te donner les anciens vêtements de Alison.

Il me dirige vers la chambre de Alison où il me donne une jupe arrivant à mis cuisse, une chemise possédant le symbole de la Umbrella Academy et des chaussettes hautes arrivant au genoux.
Je garde bien évidemment mes basket blanche.
Je prend une douche rapide, m'habille et descend dans la cuisine ou Luther Klaus et Cinq y sont.

Klaus : Cinq arrête de baver.

Cinq : Je bave pas crétin !

Klaus : Hahahaha ! Et voilà ça va te requinqué !
Dit-il en servant le café à Luther.

Luther prenant son café se le fit arracher par Cinq qui le bois.

Cinq : Nom de Dieu qui est-ce que je dois tuer pour avoir un café digne de ce nom ?

Luther : On peut commencer s'il vous plaît ?

Klaus : Est-ce que vous avez vue les autres ? Diego ? Alison ? Non ? Bon faut croire que c'est le nombre maximum de participants qu'on pourra atteindre. Votre intention, ça ne sert à rien de tourner autour du pot alors je vais me jeter à l'eau....oui....

Luther : Klaus...

Klaus : J'ai invoqué papa cette nuit.

Nous nous redressons et nous nous regardons dans un silence.

Luther : Je croyais que tu pouvais plus invoqué qui que ce soit depuis des années.

Klaus : euh, oui je sais mais je suis clean maintenant. Tadaaa ! J'ai fait ça hier pour parler à quelqu'un de spécial et j'ai finis par avoir une conversation avec notre bon vieux paternel en personne.

Numéro Vingt-deux Where stories live. Discover now