Pas à pas, au rythme de la valse des feuilles
Je sillonne les bois, caressé par la brise
Et contraste emmitouflé sous le chêne en deuil
Lui se dénude timide, et moi je m'enlise.
Fuyant et précaire, comme un reliquat d'opprobre
Je m'enivre du beau, l'éventail de couleurs
Qui espiègle me charme, ce doux matin d'octobre
Et embrasse indolent, l'écrin suave du cœur.
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L'horizon des peut-être
PoetryLa plénitude de la nuit éveillant les sens, je me trouve ici-bas, sur un bord de fenêtre, à guetter l'horizon des peut-être. Alors je gratte quelques vers, quand divague mon âme. Et je distille de ma plume, au son des gouttes de pluies qui me berce...