Chapitre 18 | Penelope - Juste toi et moi | | © Éphémère Production

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© Éphémère Production

J Y J A N AH
DANS L'HISTOIRE DE : JUSTE TOI ET MOI
Penelope

Une grippe m'avait attrapé juste après les vacances sûrement le changement de température de la France qui m'avait fait tomber malade

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Une grippe m'avait attrapé juste après les vacances sûrement le changement de température de la France qui m'avait fait tomber malade.

Pour une fois j'étais chez moi, ma petite cousine venait prendre soin de moi.

Kézia - Tu pense que tu pourras manger ?

- Je n'ai même pas la force, Kézia.

Kézia - Je peux dormir ici encore ?

- Tu t'es embrouillé avec ta belle mère ?

Kézia - Elle me fait vraiment chier je te jure, ces filles elles foutent rien mais quand je leurs crie dessus c'est moi la mauvaise fille. On est quatre ! Quatre grandes fille ya Penelope. Elles sont tellement sales.

- Eh Kézia.. crie pas ma tête.

Elle continue de me raconter ses histoires avec sa belle mère, Kézia s'est la fille du petit frère de maman.

On est proche, de toute façon je peux dire que c'est ma seule réelle cousine.

La porte se met à sonner elle et moi, on se regarde.

On se dit en même temps : « Tu attend quelqu'un ? »

- Vas ouvrir.

Kézia - Pour qu'on m'étrangle ?

- Tu vas rentrer chez toi, toi.

Je me lève avec quelques difficultés, puis je me rends devant ma porte.

- C'est qui ?

Naïm - Moi.

Je souffle.

- Je vais porter plainte, parce que ça devient de l'harcèlement là.

Naïm - Penelope.. je t'en supplie. Je-.. je peux plus.. je peux plus. Vivre sans toi, Penelope ce n'est pas possible. Je te demande pardon.. en sachant ton histoire j'aurais pas du me comporter comme ça.

Kézia, elle s'approche et me regarde.

Naïm - Tu m'entend Pe' ?

- Je t'entends.

Naïm - Ouvre moi, j'ai réagis comme un con parce que je te perdais tu me filer des bouts des doigts. C'est mon côté possessif, je t'ai pardonné Penelope j'ai compris c'est moi qui t'a poussé à devenir comme ça. Je suis prêt, prêt à m'engager réellement.

Kézia - Ouvre lui, il fait de la peine.

Je l'a regarde, et c'est vrai que ce discours ce n'est rien pour vous mais moi ça faisait des années que j'attendais que ces simples mots sortent de sa bouche. Naïm s'est mon premier amour, on a commencé à l'âge de 16 ans j'en ai bientôt 30 j'ai passé tellement de chose avec lui que.. Je déverrouille ma porte et ouvre la porte.

Naïm - Pe-.. ah salut Kézia.

Kézia - Je vous laisse.

Elle s'en vas, je me pousse de la porte pour le laisser entrer.

Naïm - Tu es malade ?

- hmm.

Naïm - Ça était le retour dans l'avion ?

- Ça n'a pas changé.

Naïm - Tu as pas pris tes cachés ?

- Non.. dis moi ce que tu veux j'ai pas la force de me battre.

Naïm - Je veux plus cette guerre.. je veux qu'on se redonne une chance.

- Une chance ?

Je rigole nerveusement.

- C'est fini, Naïm c'est fini. Nous deux se sont des histoires passées.

Naïm - C'est ça qui m'énerve. Tu crois que quelqu'un pourra t'aimer plus que moi ? C'est juste toi et moi !

- Pourquoi tu me laisse pas refaire ma vie ?

Naïm - Je ne peux pas, je ne peux pas laisser ma femme. Remet moi ta bague s'ils te plaît.

- Naïm, signe ces maudits papier qu'on en finisse avec cette histoire.

Naïm - Je ne veux pas, tu es ma meuf tu m'appartiens je te laisserai jamais partir.

Je souffle, j'étais fatiguée de lui faire la guerre je me pose sur mon canapé.

Une larme coule tout seule, que j'essuie on ne pleure jamais devant un homme c'est lui avouer ces faiblesses.

Naïm - Tu es fatigué et moi aussi, viens on devient heureux on recommence tout.

Je ne dis rien, j'étais fatigué.

Naïm il commence à se mettre à l'aise je le laisse faire.

Je m'allonge à mon tour, il récupère la télécommande.

- C'est pas ta mère qui paye mon abonnements donc laisse ce qui a.

Naïm - Ferme t'a gueule, ton émission elle est trop guez.

- Tu n'es pas content vas dormir.

Il sourit, et il vient de mon côté du canapé.

Il vient attraper mes pieds il sait que j'aime pas ça.

- Lâche mon pied !

Naïm - Il dégoûte, il est bien moites ton iep.

- Personne t'a dit de toucher, toi ce sont tes mains qui sont moite.

Naïm - Tes pieds qui crée des flaques d'eau.

- Ah ah très drôle.

Naïm - Dis moi il a combien de personnes qui t'ont passé dessus quand on a arrêté ?

- Plein.

Naïm - Tu as même pas un peu d'honte..

- Tu pose des questions, je réponds tu boude tes mystiques toi.

Naïm - Ah gars, je veux savoir qui je dois trancher la gorge.

- Tu t'affiche, tu crois que je sais pas que tu as baisers des meufs ?

Naïm - C'était des putes.

- Bah moi aussi je suis une pute alors.

Naïm - Tu me dégoûte.

- Tu peux toujours aller dormir..

Naïm - Non c'est bon, tu t'es protégé ?

- Pourquoi tu veux me pencher ?

Naïm - Pourquoi pas ? Ça fait longtemps j'ai pas fait l'amour.

- Tu veux faire le gars romantique..

Naïm - On veut un trucs propre non ?

- Mais qui t'a dit que notre histoire est de nouveau en marche ?

Naïm - Sinon tu m'aurais déjà viré depuis que je touche ta cuisse.

Je regarde sa main sur ma cuisse et je souris.

- Sors.

Naïm - Fait pas la star. J'assume les conneries que tu as fais pendant que j'étais pas là.

Je le calcule pas, je me concentre sur mon émission.

Un moment je vois l'autre s'approchait de moi et il entre entre mes cuisses.

Il s'approche de ma bouche.

- Tu joue à quoi là ? Dis-je surprise.

Naïm - Je reprend ce corps qui m'appartient.

Il s'approche et m'embrasse, au début je répondais pas mais j'ai fini par répondre.

𝐏𝐞𝐧𝐞𝐥𝐨𝐩𝐞 - 𝐉𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐭𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐦𝐨𝐢Où les histoires vivent. Découvrez maintenant