Mon regard était attiré par toi quoique je fasse
Je ne pouvais le détourner
Je n'avais pas le droit
Je ne devais pas te regarder avec cette lueur
Mais je ne pouvais faire autrement
Ton regard me faisait vriller
Ton sourire me permettait de souffler
Je me perdais avec toi
Et qu'est ce que j'aimais çaMême lorsque tout est devenu compliqué
Lorsque je ne devais pas te regarder
Les heures passaient, les cours passaient
Et mon regard se figeait encore et encore
Ne pouvant faire autrement que de t'aimer, de te trouver sublime
Jusqu'à cette fichue sonnerie
M'empêchant de te regarder
Me ramenant à cette triste réalité, celle de se fuir
Je n'ai jamais su si tu avais vu tous ces regards
Si tu avais vu mon regard désespéré et détruit de ne plus être à tes côtés
Malgré ça, malgré ce sentiment
Te regarder était la seule chose que je pouvais faire
La seule chose qui me permettait d'avoir un petit quelque chose qui me reliait à toiAlors je ne cessais de te regarder
Et pourtant quand ton regard croisait le mien
Je ne pouvais faire autrement que le détourné
Car au fond de moi je savais, je savais que tu ne voulais pas me voir
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Les plumes de nos âmes dépassées
PoetryY a-t-il un monde qui nous mérite ? Où la souffrance se tasse tandis que les démons, eux, Sont apeurés de souffrir Regrettant leurs gestes Que personne ne peut oublier. -- un simple recueil de pensée, assez noir je l'avoue -- parce qu écrire est une...