La médiathèque

Babylone

Salut à tous !!! Babylone, votre plus grande fan est de retour !!! (Enfin, c'est plutôt vous, mes fan, enfin, vous avez compris, c'est vous qui m'adorez...)
Enfin bref, puisque je suis ici pour vous résumer mon histoire, je souhaite la bienvenue au DEUXIÈME CHAPITRE DE MON HISTOIRE, WOUAAAAWWWW!!! ( je me suis donnée pour corriger les faute, je vous jure...)
Donc, c'est ainsi que j'introduis le début du cauchemar, l'ascenseur.

J'ai toujours été une casse cou, donc à peine quelque jour après avoir retiré mon plâtre à mon bras droit ( que j'avais cassé au ski, et oui, c'est dangereux, surtout quand on est arrêté devant un télésiège en marche...), oups... me revoilà toute blessée... à la jambe cette fois ci !!
Vous savez, c'est fou comme tomber d'un toboggan pour enfant d'un mètre et demi peut être dangereux. Je me suis cassé l'os de la cheville et arraché le tendon !! Je vous jure, les architectes de ces jeux sont vraiment inconscient...

Enfin bref, après mainte et mainte chute dans les escaliers avec mes béquille et mon équilibre très bancal, les prof ont fini par me laisser la clé de l'ascenseur. Bien évidemment, Tess et Deva ont râlé pour monter avec moi, mais vous commencer à me connaître, j'adore profiter du plaisir toute seule. Et quel plaisir, de voir chaque matin, mes deux pauvre meilleures amies grimper ces grande marches pendant que moi je me la coule douce dans une belle boîte qui monte et qui descend....
En tout cas, cette merveille m'a délivré d'un gros poids, le calvaire des escalier a 7h du mat. Quel satisfaction....
Mais ce n'est pas le plus important.

Il se trouve que nous étions un des dernier jour avant les vacances de Noël. LE dernier jour même, ce qui nous faisait éclater de rire à toute heure de la journée, sauf à la médiathèque que nous allions quitter pendant quelque temps. Quelle tristesse. Si ont avait su ce qui nous attendais....

-Aller.... Babylone.... S'il te plaît.... C'est le dernier jouuuur.....
-Ah non. Hors de question de rater le spectacle de vous voir souffrir dans les escaliers.
(Cette remarque m'a valu un coup de point dans le bide de la part de Deva, ce qui m'a vite fait changer d'avis).
Tess et Deva montèrent donc dans l'ascenseur avec moi, mais les garçons vinrent tout gâcher en faisant un boucan pas possible.
-NOUS AUSSI ON VEUT MONTER !!!
-AH NON !!! VOUS PUEZ LA TRANSPI BANDE DE GROS POR.....
-Vous n'allez tout de même pas monter à 6 dans un ascenseur à une seule personne, en plus de ne pas être handicapé, j'espère ?
M. Guillaut se tenait devant nous, sa tasse de café à la main. Il avait l'air dans le déni, cet abruti.
-Euh....mais....euh... on....
Je n'avais clairement pas d'excuse. Je m'attendais à punition mais...
-Bon, c'est le dernier jour. Je n'ai rien vu, rien n'entendu !
-Merci monsieur !!!
J'appuyais sur le bouton rez-de-chaussée et hop, les porte de fermaient lentement.
-Bonne vacances, et surtout, essayer de ne pas vous retrouver en enfer !!
Sur le moment, je n'ai pas réagit, mais à près coup, cette phrase me parait toujours aussi bizarre. En plus, il y avais quelque chose de malaisant avec M. Guillaut, qui sourirait à grande dent comme un clown qui surjoue son rôle. Il remuait son café avec une petite cuillère en nous observant fixement, jusqu'à ce que les porte se ferment et nous séparent.

Il y a eu d'abord un choc, puis l'ascenseur est tombé en chute libre.

-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH !!!! (Je vous reporte ici le cri de Tess, doublé de celui de Baptiste et Maximilian. Deva et Antoine se serrait l'un contre l'autre, comme pour se protéger ensemble, tel deux brosse à dent dans un gobelet, à l'affût de dents sale à frotter pendant de longues minutes. (Je suis une pro des métaphores, nommer moi philosophe).

La chute a stoppé.
Les portes se sont ouverte.

Des barreaux.
Les deux, Deva et Robert se serrait toujours l'un contre l'autre, en tremblotant et en rougissant à moitié, et moi, j'avais envie de leur hurler que ce n'était pas le moment.

Une cage.
-Super, des nouvelle proies toute fraîche !!! Elle va être contente P....
-Chut !! Ne prononce pas son nom !! Ce sont des impurs, ils ne méritent pas ce luxe !! Tu-sais-qui est trop importante pour ça...
Ça me faisait beaucoup penser à Harry Potter, cette histoire de tu-sais-qui.... Et puis, ces voix me disait quelque chose.
Soudain, une voix beaucoup plus familière, une voix que je connaissait depuis le début de l'année.
Une voix qui entama un long monologue, pendant que personne ne réagissait, trop choquer pour bouger.

Mme. Gregig ?
Ou est ce qu'on avait donc atterri ?